1. Comment ma femme s'est dévergondée (1)


    Datte: 12/04/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... retenir. — Là où je voulais en venir, Philippe, c’est qu’avec une petite queue comme tu as, tu ne peux pas donner de plaisir à Sandra !! — Non, elle ne doit rien sentir !! Il me posa alors des questions très intimes sur mes rapports avec ma femme : comment je la "préparais" avant de faire l’amour, comment elle réagissait quand je la pénétrais, si je pratiquais la sodomie, etc… — Et tu la prends combien de fois par semaine ? — Je ne sais pas, 3 ou 4 fois… — Je ne vais pas y aller par quatre chemins, Philippe. Je ne te cache pas que tu es très mal barré avec Sandra. Ca fait 8 ans que vous êtes ensemble et tu ne lui donnes aucun plaisir. Alors tu sais, les femmes aiment jouir. Et pour jouir, il leur faut de grosses queues. Et ce n’est pas avec ton vermicelle que tu peux lui donner du plaisir. Alors un jour, Sandra en aura assez de ne pas avoir de plaisir, elle ira voir ailleurs pour trouver un mec bien membré, et elle te quittera. C’est ça que tu veux ?? L’angoisse montait, une boule dans la gorge, les yeux humides. Je fis "non" de la tête. — Très bien, tu aimes ta femme, j’en suis sûr, et tu ne veux pas la perdre. Et tu viens de prendre enfin conscience du danger. — Donc, pour ne pas perdre Sandra, il est urgent qu’elle prenne ENFIN du plaisir. — Il va falloir accepter une chose, Philippe : accepter d’être COCU. Là, c’était trop. Toujours nu, toujours les mains derrière la tête, je me mis à fondre en larmes. — Assieds toi dans le fauteuil et enlève tes mains de ta nuque. ...
    ... Pleure, ça te fera du bien. Ma crise de larmes dura bien un quart d’heure. Temps durant lequel Daniel ne parla pas. Il se servit un whisky en me regardant pleurer à chaudes larmes, à poil devant lui. Je commençais à me calmer quand il me servit un verre. — Calme-toi. Bois ça, ça te fera du bien. J’avalais le whisky presque d’un trait. J’ai a peine reposé le verre qu’il ordonne : — Debout et en position ! Je n’en crois pas mes oreilles. Je le regarde, interrogatif, hébété. — J’ai dis debout en position bordel !! J’obéis. Je me lève, je mets mes mains derrière la tête. Il me fait marcher, bouger, tourner sur moi-même. — Tu sais, tu as vraiment de la chance d’avoir croisé mon chemin. Je vais sauver ton couple, et grâce à moi, tu conserveras ta femme. — Je suis dominateur, je vais prendre la situation en mains. — Tiens, mets-toi à genoux, là. Mains croisées derrière ton dos, au dessus de tes reins ! Je fais ce qu’il me dit. Une boule dans la gorge. J’ai chaud. — Tu vas être cocu. Tu sais, ça va être très difficile à accepter et à supporter. Tu devras faire preuve de beaucoup de courage pour accepter la situation. Tu devras être soumis. Obéissant. Accepter que d’autres hommes baisent ta femme, profitent de son corps. — Tu devras accepter de la voir se faire draguer devant toi, accepter de la voir inviter des hommes chez toi, la voir et l’entendre se faire baiser dans votre lit, l’entendre jouir. Accepter aussi qu’elle découche et passe la nuit chez un amant. — Mais tu verras, tu ...