Lune noire en capricorne
Datte: 12/04/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... travail, du temps qui passe. Progressivement, je ne l’écoute plus, je me perds dans une intense réflexion. J’ai là un homme, qui me plait, pour qui, quelque fois, j’ai eu de coquines pensées. Ce n’est pas l’envie qui me manque, mais j’ai toujours renoncé à la possibilité d’une relation sexuelle en dehors de toi. La tentation est trop forte de céder à cette opportunité qui ne se représentera pas de si tôt. L’idée que je ne manquerai pas de t’informer de ce petit extra provoque en moi un désir insoupçonné. Je sens une douce chaleur humide envahir mon bas ventre. A cet instant, il croise mon regard, et s’y arrête. Il devine une émotion sensuelle qui voile mes yeux. Mes joues s’empourprent. Il semble deviner mes pensées. - « Tu as chaud ? » dit-il d’un ton presque narquois. - « Oui, je reviens, je vais me mettre à l’aise » - « Il est temps que je parte, non ? » souffla-t-i avec peu de conviction. - « Non, attend, appelle chez toi, dis que tu es bloqué par la neige, je vais prendre soin de toi ! ». Il n’en revient pas. Moi qui paraissais si réservée, je renvoie l’image d’une femme qui n’a pas froid aux yeux. J’ai le sentiment qu’il détaille dans ses pensées mon anatomie : la finesse du grain de peau, le rose diaphane du visage, les joues rondes et colorées, la courbe volontaire du menton, la bouche pulpeuse, les seins prometteurs, le bassin un peu large, les cuisses triangulées, le léger embonpoint du ventre… Je rejoins le dressing où je remplace mon pantalon par une robe dont la ...
... fermeture éclair l’ouvre de haut jusqu’en bas. Avec une boule au ventre, j’enlève ma culotte. Je mets des talons hauts. Me voilà équipée ! J’imagine que je vais prendre son sexe dans ma bouche et lui faire cracher toute sa liqueur. Je suis très excitée par cette idée. Une autre idée traverse mon esprit et provoque en moi un émoi presque incontrôlable. Je vais chercher mon téléphone et je t’écris ce SMS : « Bonsoir, j’ai follement envie de boire un homme, je vais le faire, tu n’avais qu’à être là ! ». Je reviens dans le séjour. Il me regarde stupéfait par le changement de ma tenue. Je m’avance vers lui dans un balancement de hanche. Je me place devant lui, me mets à genoux à ses pieds. De là je commence à lui caresser les cuisses, je remonte vers son ceinturon. Pendant que je le desserre, je lui dis : - « Laisse toi faire… J’en ai toujours eu envie…Profites… » - « Euh…mais…qu’est ce que tu fais ? » Je baisse son pantalon à ses chevilles, puis à travers le tissu, je serre son sexe qui prend des proportions intéressantes. - « Je vais te faire jouir comme jamais une femme t’a fait jouir ». Je baisse à son tour le caleçon. Un magnifique aiguillon se dresse devant moi. Les deux aumônières sont gonflées, tendues, et donc prometteuses. Mes mains se posent sur chacune de ses cuisses. D’un mouvement lent, je les remonte vers son torse, faisant ainsi basculer ma tête vers ma convoitise. J’ouvre ma bouche, et je fais pénétrer son pieu au plus profond de ma gorge. Il gémit de plaisir. En ...