RÉVEIL D’UNE LIBERTINE – Une infirmière en Beauce 08
Datte: 12/04/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... la volonté de se défendre. D’ailleurs, voulant affermir son emprise, il lui pelote la poitrine sans vergogne à travers le corsage et, retroussant la jupe d’une main, il fourre ses doigts dans l’entrecuisse, et les frotte contre la vulve à travers le tissu soyeux. La pauvre mère de famille gémit sous cette attaque soudaine, alors qu’Hervé s’est laissé choir dans un fauteuil, et contemple avec étonnement, mais aussi avec une certaine excitation, sa femme se faire trousser devant lui. Son souhait se réalise, au-delà de ce qu’il espérait, car Valérie, subjuguée par l’autorité dont fait preuve Cédric, ne proteste même plus, elle plie légèrement les genoux et écartes les cuisses pour faciliter la main du bel homme qui la masturbe devant son mari. Tout à coup, elle a plusieurs spasmes de jouissance et l’orgasme déferle en elle. Cédric la soutient et la dispose doucement sur un des canapés. Elle reprend peu à peu ses esprits, regardant les deux hommes qui la contemplent avec une certaine bienveillance. Cédric, se dégrafant, sort du pantalon une verge impressionnante, puis, il s’approche de Valérie, et lui ordonne. « Je pense que vous devriez prendre mon sucre d’orge en bouche ma Chère Valérie, votre mari m’a dit que vous êtes une suceuse hors pair et que vous adorez lui tailler une pipe » Valérie, hésitante, jette un coup d’œil à son mari, qui lui fait un signe d’assentiment. Alors elle prend cette verge qui l’a pénétrée en elle cette nuit et elle essaie de la faire entrer dans sa ...
... bouche qu’elle ouvre le plus possible. Le mandrin est énorme, au moins le double de celui de son mari et avec sa langue, elle a beaucoup de difficulté à en faire le tour. Elle n’a jamais éprouvé de répulsion à téter un vit, depuis que Serge son premier amant, l’a habituée toute jeune à cette pratique. Elle éprouve même une certaine exaltation à goûter ce membre de chair qui palpite au fond de sa gorge. Sa langue virevolte autour du gland bien décapuchonné qui tressaute sous la caresse précise. Elle s’infiltre même dans le méat qui laisse s’écouler un léger filet de liquide pré séminal. Valérie, même si elle ne trouve pas au sperme un goût succulent, accepte à présent de l’avaler, aussi, lorsque Cédric crache sa liqueur, elle absorbe la sève abondante qu’il éjecte jusqu’au fond de sa gorge et l’ingurgite sans hésitation. Hervé se lève et vient l’embrasser, mélangeant sa langue au foutre de Cédric sans aucune hésitation. Puis, il lui dit qu’il va courir et qu’il lui souhaite plein de bonnes choses avec Cédric qui va la faire encore jouir. Valérie se sent complètement perdue bien qu’elle ait reçu l’aval de son époux pour se faire baiser par cet amant improbable. Elle ne peut nier que le Baron d’Avesgaud, avec son audacieuse assurance de sexagénaire, ses traits virils et sa stature impressionnante lui plaît et qu’elle fond entre ses bras. D’ailleurs, lorsqu’il l’enlace et l’entraine à travers le château, elle se laisse conduire, ayant presque oublié son état de femme mariée fidèle ...