1. RÉVEIL D’UNE LIBERTINE – Une infirmière en Beauce 08


    Datte: 12/04/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... Laissant ses appareils cachés, il rejoint Cédric qui n’est absolument pas gêné. « Tu vois Paul, notre Valérie est complètement épuisée. Cette petite salope a trop donné de sa personne, mais elle en veut encore, tu peux me croire, tu vas d’ailleurs pouvoir en profiter » Valérie se redresse, effarée de ce qu’elle vient d’entendre en voyant Paul tout près d’elle, elle est morte de honte qu’il la voit dans cette position dégradante, presque nue à part le haut. Mais celui-ci ne se démonte pas. Il la prend à bras-le-corps et la dégage de Cédric, la remettant debout. Il prend le haut de son corsage à deux mains, le lui arrache d’un coup sec, et dégrafe son soutien-gorge avant qu’elle ait pu esquisser le moindre geste. Valérie est sidérée de subir de tels agissements de l’ami de son mari, celui à qui il doit tout, notamment son poste à la banque. Ce colonel si courtois avec elle, surtout lors de leur escapade à Paris pour choisir justement des vêtements pour ce week-end. Qu’il se conduise ainsi comme un soudard et devant Cédric qui ne dit rien, mais justement celui-ci s’adresse à elle. « Ma petite putain, tu vas être bien gentille avec mon ami Paul, après lui avoir fait une turlutte, il va te caresser et te bouffer la chatte pour qu’il ait le temps de se remettre en forme et après, il te baisera ma Chérie, en levrette, comme il aime » Valérie est plus mortifiée du mot putain que de devoir être possédée par ce vieillard. Après tout, puisque son mari veut la partager, après ...
    ... Cédric, Paul est loin d’être repoussant malgré son âge. Maintenant qu’elle se vautre dans le stupre, il faudra bien qu’elle s’habitue. Le principal, c’est qu’elle ne perde pas son mari et que son entourage ne soit pas au courant. Cédric après s’être douché et habillé les laisse tous les deux dans sa chambre. Après avoir sucé à genoux, la verge de Paul, pas aussi impressionnante que celle de Cédric, mais tout de même d’une taille honorable et avoir avalé son sperme, Valérie se prête aux exigences du colonel qui veut voir et déguster sa moule. Malgré son humiliation, elle ouvre le compas de ses jambes, pour que cet homme puisse scruter son intimité dans le moindre détail, et que ses doigts viennent effleurer, toucher, palper, tâter, tripoter, manipuler, malaxer, pétrir et doigter son pubis, sa vulve, ses grandes et petites lèvres, les chairs profondes du vagin et le clitoris si sensible. À cette évocation, le flot de mouille qui avait déjà envahi son intimité redouble, alors que Paul lui fait tout ce qu’elle attend, il hume l’odeur caractéristique de son intimité de femme excitée, il lèche, tête, gobe, happe, dévore la pulpe vaginale, absorbant les sucs intimes, lapant et avalant la mouille onctueuse qui s’échappe de la chatte mature. Valérie se tord en tout sens, la sensation étant devenue trop forte, mais le colonel la tient fermement par ses bras agrippés autour des cuisses. Elle hurle maintenant son bonheur, hoquetant même et pleurant sous la jouissance inouïe et les orgasmes ...