1. une histoire, la fin


    Datte: 13/04/2018, Catégories: Gay

    ... Pendant le trajet qui m’emmenait je ne sais où, Vincent me dit que sa future femme était au courant de notre amitié, qu’il l’avait prévenue, que je faisais partie de sa vie, que rien ne pouvait le séparer de moi, qu’elle devait l’accepter.Après plusieurs heures de route, nous sommes arrivés dans un domaine boisé. Une fois la voiture arrêtée sur un parking, Vincent m’a demandé de l’attendre. Il est revenu accompagné d’une jeune femme que nous avons suivie avec notre sac, le long d’un chemin en pleine forêt. Arrivés au pied d’un énorme chêne, une grande échelle était posée sur le tronc. En relevant la tête, j’ai vue une maison perchée tout là haut. Vincent me dit :- voilà où nous allons passer le week-end.Après avoir gravit les échelons, nous sommes arrivés dans une maison toute en bois avec un balcon qui en faisait tout le tour. Ce qui découvrait une vue sur l’horizon à 360°. Après nous avoir fait visiter la grande chambre avec une douche et même des toilettes, la jeune femme nous montra une sonnette qui servait à appeler l’accueil si nous avions besoin de quelque chose. Avant de redescendre, elle nous indiqua une corde avec un panier enroulée autour d’une poulie qui servait à remonter nos repas, qu’elle annoncerait son arrivée par la sonnette de son vélo. Une fois partie, elle enlèverait l’échelle et nous serions isolés dans notre arbre.J’avais l’impression d’être un gamin dans sa cabane. Après avoir pris une douche, nous courrions tout nu autour de la chambre. Une ...
    ... sensation de liberté totale. L’apéritif et le repas furent pris sur le balcon. Les bruits venus des arbres m’enchantaient.J’étais appuyé sur la rambarde à contempler les lumières de la vallée. Vincent nu, vint se coller contre moi, faisant tomber mon peignoir. J’aimais la douceur de sa peau, le soyeux de ses poils sur son torse qui caressaient mon dos, son sexe au repos qui se frottait sur mes fesses, les bisous qu’il me faisait sur le cou, la nuque, sa bouche me mordillant les oreilles, ses doigts pinçant légèrement mes seins, ses mains descendant sur mon ventre jusqu’aux poils pubiens, glissant entres mes cuisses. J’ai tourné ma tête cherchant sa bouche pour un long baiser, puissant et tendre à la fois.En rentrant dans la chambre, je voulais que cette nuit exceptionnelle soit toute à lui. Vincent allongé sur le dos, les bras en croix, me laissait voyager sur son corps. Ma bouche parcourait son cou, ma langue s’arrêtait sur ses tétons durcis, que je suçotais du bout des lèvres, puis remontais sur son cou, pour redescendre le long du petit sillon dessiné sur son torse jusqu’au nombril que j’explorais du bout de ma langue. J’écartais le plus possible ses cuisses pour lécher le pli de l’aine. Je n’eus pas grande distance à parcourir pour atteindre sa verge décalottée, par l’excitation attendant ma bouche. Délicatement, je déposais un baiser sur son gland turgescent, de le prendre en bouche, jusqu’à la collerette l’enserrant de mes lèvres. J’entendais Vincent couiner à chaque succion. ...