1. une histoire, la fin


    Datte: 13/04/2018, Catégories: Gay

    ... sur mon torse pour m’embrasser. Le jeu de nos langues ne faisait qu’accentuer le plaisir. Sentant mon sexe coincé entre nos deux corps, celui d’Eric bien au chaud, je me retenais pour ne pas jouir et retarder l’extase.Eric reprit son limage, pendant que je me branlais. Quand Eric s’immobilisa en gémissant je sentis un liquide chaud m’envahir et mon sperme gicler jusqu’à mon torse. Eric resta plusieurs secondes avant de se retirer, le temps qu’il m’embrasse tendrement.Après avoir repris nos forces, en se levant pour aller dans la salle de bain, nous nous sommes aperçus que les rideaux n’avaient pas été tirés, qu’un mec dans l’immeuble en face avait profité du spectacle.Nous avons passé la nuit enlacés, collés l’un à l’autre. C’est au réveil qu’à mon tour j’ai honoré Eric. Ce fut encore pour moi une découverte de nouvelles sensations de sentir ma queue emprisonnée dans ce fourreau, mon corps aimanté à celui d’un autre garçon. Une grande émotion lorsque je jouis dans ce corps. Lors de nos délires, nous laissions volontairement le rideau ouvert offrant au voyeur le spectacle de nos galipettes.Cette année de fac, fut riche d’enseignements intellectuels et sexuels. Je connus chez Eric la position 69 qui me fit goûter et apprécier son sperme, comme il dégusta le mien. A chaque soirée, cela se terminait par une partie sexe. J’ai découvert lors d’un repas vietnamien un asiatique nommé Ly. Le sujet de discussion tout au long du repas était axé sur le sexe, si bien qu’au dessert, il ...
    ... sortit de son sac de sport quelques gadgets et se fit un plaisir de nous montrer le fonctionnement. Nous nous sommes mis à poils pour la mise en pratique. Je connaissais bien le sexe d’Eric, mais celui de Ly était très petit, perdu au milieu de poils très noirs lisses et luisants.Parmi les godes proposés, j’ai choisi celui qui vibrait. Allongé sur le dos, je maintenais mes jambes bien ouvertes et relevées le plus possible pour écarter mes fesses. Ly fit entrer le gode, laissant dépasser le fil de la télécommande. Je ressentis une petite sensation au premier cran. Le cran suivant était associé à de petites décharges électriques très supportables. Au fur et à mesure l’intensité augmentait, cela me donnait de frissons à chaque décharge. Ly n’en resta pas là, il augmenta la puissance jusqu’à ce que je le supplie d’arrêter.- tu dois aller jusqu’au bout ! il reste un cran.- Je ne vais pas tenir !- Ne crains rien, ce n’est pas dangereux.-Au dernier cran, j’étais en sueur, à chaque impulsion qu’il déclenchait, mes jambes tremblaient. Devant un tel traitement, mon sexe s’était recroquevillé.Ly arrêta le gode et dit :- d’habitude, avec un tel traitement, les mecs crachent leur jus rapidement, toi tu tiens la distance. Au tour d’Eric !Ly choisit celui qui était d’un beau vert fluo avec des protubérances de plus en plus grosses. Le trou d’Eric accepta entièrement ce gode sans broncher. Au premier cran, le gode faisait de petits mouvements circulaires qui faisaient rire Eric. Les mouvements ...
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