Matinée d'essayage (1)
Datte: 13/04/2018,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... particulièrement conne. Vexée de ne pas avoir eu la moindre répartie qui aurait pu le retenir, je me dirigeais vers les cabines d’essayage. Je ne suis pas spécialement parano de la pudeur et c’est donc sans même y penser que j’avais laissé le rideau légèrement entrouvert, pour avoir quand même un peu d’air dans ces cabines toujours trop confinées. De toute façon, j’étais la seule cliente aux essayages, il n’y avait donc pas de raison de m’en soucier. Et c’est sans malice que je procédais au changement de pull, gardant même mon top. Comme prévu, je trouvais le modèle S trop large, il me semblait porter un sac quand je me regardais dans la glace. Je n’étais décidément pas bien épaisse comme me disait ma grand-mère qui s’inquiétait toujours de mon poids En enlevant le top cette fois-ci j’essayais le XS. J’étais bien plus satisfaite du résultat. Même si j’avais des petits seins, au moins on en distinguait la forme. Je n’étais néanmoins pas encore totalement convaincue, je voulais voir ce que cela donnait sans soutien. Après tout un jour sur deux, depuis la rentrée et l’absence nouvelle de regard désapprobateur parental, c’était comme ça que je sortais. Oui, comme ça j’aimais bien. Le dessin des bois attirait inexorablement l’œil vers ma poitrine, j’aimais susciter le désir. C’était comme ça. Je n’y pouvais rien. Oui, c’est beaucoup mieux ainsi! Je sursautais. Toute à ma surprise, je n’étais pas parvenue à identifier la provenance de la voix. J’ouvrais le rideau. Le couloir était ...
... désert. Je ne comprenais pas. Je me disais que le mec avait du préparer sa fuite. Planqué, il m’avait regardé me changer. Il avait vu mes seins, ce n’était pas dramatique. Je refermai le rideau de la cabine. Je mis mon soutien dans mon sac, j’étais toujours plus à l’aise quand je n’en portais pas. C’est plus confortable. A nouveau, je n’avais pas été très attentive au moment de fermer le rideau. Ou se cachait-il? Je n’en avais aucune idée. Mais, je ne m’en souciais déjà plus. C’est sans pudeur que je retirais le pull de Noël. Il voulait voir mes seins, il n’avait qu’à les regarder. Je vérifiais même mon téléphone sans prendre la peine de me rhabiller. La situation me plaisait, j’étais bien forcée de l’admettre. Un inconnu que je ne pouvais voir matait mes seins. Ça suffisait à réveiller mes sens qui n’avaient pas eu beaucoup le temps de se réjouir ces derniers temps. Gentille fille. Encouragée par le moqueur compliment, je ne remis toujours pas de vêtement pour répondre au téléphone. Oui, il y a des supers pulls... Tu es dans le coin?... Oui, moi aussi, j’aime bien leurs strings. C’était Zo, une redoublante qui m’avait prise sous son aile depuis le début de l’année scolaire. Elle m’avait expliqué comprendre parfaitement le sentiment que j’avais parfois d’être totalement perdue pour l’avoir vécu aussi une année auparavant. Elle allait me rejoindre. C’était quand même plus agréable de faire du shopping à deux. Ou a deux plus un... Un string sur un beau petit cul, ça doit être ...