Les démons de Noémie (1)
Datte: 14/04/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... est chez lui aujourd’hui ? » — « Je crois, oui. » — « On va l’appeler pour voir si tout fonctionne. » — « Ok ! » René apparût sur l’écran. Il fut surpris de voir Noémie en premier. Monsieur Verdier lui expliqua la situation rapidement. - « Elle est bien jolie, la dépanneuse ! » René, dont elle ne voyait que le visage, avait les joues creusées, des cheveux noirs épars sur le crâne et son sourire montrait quelques dents manquantes. Sa peau grise était parsemé de trous d’acné et de rides très prononcées. Il devait avoir le même âge environ que son client, peut-être plus vieux. Soudain, Noémie se pétrifia, clouée sur le fauteuil. Elle ne comprenait plus rien mais se sentit d’un coup très excitée et il lui sembla que son corps ne répondait plus à son cerveau. Entre ses cuisses, une chaleur l’envahit et elle comprit vite qu’elle commençait inexplicablement à mouiller. Elle pria pour qu’aucun des deux ne s’en aperçût. Monsieur Verdier repartit chercher le café qui avait fini de couler. René, quant à lui, avait une lueur étrange dans ses yeux noirs et fixait Noémie. Elle ne bougeait plus du tout sur sa chaise. — « Vous avez froid, mademoiselle ? » — « Non... non, pou-pourquoi ? » — « Vous pointez, je le vois à travers votre t-shirt. » Elle rougit instantanément. Elle caressa machinalement ses seins à travers le tissu comme pour confirmer ce que René soupçonnait. Il écarquilla les yeux, sourit et savoura pleinement ce qu’il voyait. Il tenta le tout pour le tout : — « Enlevez-le. » ...
... Elle sentit un courant électrique parcourir tout son corps et sans la moindre hésitation, elle obéit et dévoila son soutien-gorge blanc. Elle était comme un automate, incapable de prendre le contrôle de son corps. Elle était consciente de ce qu’elle faisait mais ne pouvait s’y opposer. Elle frissonna de tout son être. — « Le soutien-gorge maintenant. » René fit une manoeuvre sur son clavier et sourit d’une manière qui glaça Noémie, à présent à moitié nue devant cet inconnu. L’homme continua. — « Ton pantalon et ta culotte. » Encore une fois, elle obtempéra. Noémie se sentait surexcitée, son sexe était détrempé. Intérieurement, par contre, elle était attérée par ce qu’il se passait. Elle enleva ses tennis, et fit glisser le jean et la culotte sur le côté, — « Bien ! Rassieds-toi et commence à te toucher, ma belle »... Comme sous emprise, la belle philippine laissa ses doigts commencer à effleurer ses lèvres et elle se caressa. Elle mouillait énormément. D’une main, elle écarta délicatement les chairs et de l’autre massa l’entrée de son vagin avec un doigt. Ses seins étaient durs et ses tétons bruns ressortaient. Tout en touchant sa petite motte gonflée de désir, elle passa ses jambes par-dessus chaque accoudoir. Elle n’avait gardé que ses chaussettes noires. Son doigt s’enfonça un peu plus dans l’orifice. René n’en revenait pas, tout lui semblait aussi irréel qu’à la jeune femme. Monsieur Verdier fit irruption dans le salon à cet instant. — « Putain de merde ! Qu’est-ce qu’il se ...