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Les démons de Noémie (1)
Datte: 14/04/2018, Catégories: Partouze / Groupe
... passe ici ? » Il déposa le plateau contenant le café sur la table, en manquant de le faire tomber et s’approcha rapidement du fauteuil. Ses yeux s’écarquillèrent : là, dans son fauteuil, une jeune femme nue se masturbait ! Il reprit cependant vite ses esprits et commença à caresser le sein de la jeune Noémie. — « Ben dis-donc, mon salaud, tu l’as trouvée où celle-là ? » — « J’en sais rien mais elle est chaude la petite ! » Son pantalon gonfla ostensiblement. Il saisit le bras de Noémie et l’invita à poser sa main sur son entrejambe. La main droite de la jeune asiatique continuait à caresser sa chatte et elle enfonçait maintenant deux doigts d’un mouvement ample et lent dans son vagin. Elle entendit le "zip" de la braguette et se retrouva bientôt avec un sexe dur dans la main gauche. Elle regarda Monsieur Verdier, avec un visage implorant de désir et ses yeux descendirent jusqu’à la queue qui palpitait entre ses doigts et changeait de taille. Elle vit aussi les grosses couilles poilues sortir du pantalon gris. Cette situation folle enflamma le cerveau de la jeune femme. Elle se comportait comme la pire des salopes sans pouvoir faire quoique ce soit et sans comprendre comment elle en était arrivée là. — « Allez, branle-moi. » — « Ouais ma belle et écarte bien tes jambes que je puissse faire ma petite affaire moi aussi ! » Ces mots crus décuplèrent son excitation et elle accéléra la cadence de ses doigts entre ses jambes. Elle branlait lentement Monsieur Verdier qui grimaçait ...
... et souriait en même temps. Il ne quittait pas Noémie des yeux et respirait rapidement. — « Hé ben ! On aura pas perdu notre journée, hein mon René ? » dpvdxxhk — « Sûr, Jean-Marc ! Faudrait qu’elle te suce, la petite, hein ? » - « Ouais, t’as entendu mon copain ? » Noémie se pencha sur le côté, fit pivoter le fauteuil en posant un pied sur le bureau et étira sa langue. Monsieur Verdier s’approcha et enfonça sa queue relativement courte mais très épaisse et bien dure dans la bouche qui s’offrait à lui. — « Oh putain, ouais ! » — « Elle va me faire gicler la petite salope ! » — « E lle suce bien, elle aime ça ! » Deux hommes qu’elle trouvait particulièrement laids profitaient de son corps sans vergogne. Comment tout cela allait-il finir ? Elle lécha la hampe sur tout le long puis titilla le gland et aspira la bite odorante. Elle suçait Monsieur Verdier avec ardeur et ondulait du bassin sur le fauteuil pendant qu’elle se branlait violemment maintenant. L’odeur âcre du sexe et sa langue qui passait sur le gland violacé et humide lui faisaient perdre tous ses moyens. Sa joue se déformait sous les coups de bite de Monsieur Verdier que ce spectacle ravissait au plus haut point. Elle gémissait, son cerveau semblait éteint et elle ne se concentrait maintenant plus que sur la queue qui emplissait sa bouche et sur le voyeur qui se branlait par écran interposé. Sa belle tête brune allait et venait nerveusement au gré de la pipe qu’elle prodiguait. Ses yeux fixaient le visage grimaçant de ...