Frasques à Deauville
Datte: 14/04/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Les femmes,
... dos d’une chaise. Elle a ensuite dégrafé le soutien-gorge et a fait jaillir une belle poitrine qui se tenait toute seule. Elle baissa enfin son string. Son sexe était glabre. Elle garda le porte-jarretelle et les bas. Elle posa ses sous-vêtements sur la chaise. Nue, elle était magnifique. Je ne la quittais pas des yeux. Une invitation au sexe et au plaisir, voir même à la débauche. Elle me faisait tourner la tête. Elle s’approcha de moi, me tendit la main en disant : - Venez Laetitia, je vais vous préparer. Prenez ma main, je vous aide à vous lever. Vous devez encore avoir les jambes flageolantes, ne vous inquiétez pas, c’est normal, ça va passer ! En effet, je me sentais peu assurée, ma tête tournait encore un peu. Mais l’excitation était bien présente et prenait le dessus sur le vertige. Constance entreprit de me déshabiller. Elle enleva mon haut, fit glisser ma jupe sur mes cuisses, ôta mon soutien-gorge et ma culotte : - Je vous laisse vos bas Laetitia, dit-elle en s’accroupissant pour m’enlever mes chaussures. Elle plia soigneusement les vêtements et les posa sur la chaise avec les siens : « une manique, ce n’est pas possible ! ». - Vous êtes belle Laetitia me dit-elle revenant vers moi. Elle joignit le geste à la parole en me caressant les fesses et en glissant à nouveau sa langue dans ma bouche. - Vous aussi vous êtes belle Constance - Je vais finir de vous préparer Laetitia, asseyez-vous sur le fauteuil, là, je reviens, dit-elle en quittant la pièce. Je la suivi des ...
... yeux. Quelle paire de fesses, quelle paire de seins ! Quelle sensation bizarre. Mélange d’excitation sexuelle et sensation d’être dans du coton. Pas désagréable c’est sûr. Enfin, j’étais un peu dans un état second. Constance revint les bras chargés de deux grands cartons. Du premier elle a extrait une paire de cuissardes en cuir noires : - C’est du 39, à priori votre pied est plus petit, ça devrait aller. Il vaut mieux un peu grand que trop serré, me dit-elle en s’agenouillant devant moi pour me passer les cuissardes. Elles me montaient haut sur les jambes. A mi-cuisses à peu près. Mes bas dépassaient à peine du haut des cuissardes. Du second carton, elle extirpa une large ceinture en cuir, qu’elle passa autour de ma taille. Elle déplia un long manteau en cuir. Constance m’invita à me lever pour passer le manteau. Il m’arrivait quasiment à mi- mollets et ne possédait pas de manches. La situation m’excitait de plus en plus. Je sentais mon entre-jambes s’humidifier. - Maintenant la touche finale, m’annonça Constance. Ma dernière acquisition … Elle me présenta les gants de cuir rouges, ceux de la vente. - Touchez comme le cuir est doux et fin, me dit-elle. Je caressais la matière. En effet, le cuir était souple et doux. - Je vais vous les passer. Elle eut du mal à me les passer. Ils me faisaient comme une seconde peau. Constance tira vers le haut pour les tendre au maximum. Les gants montaient jusqu’au milieu de mes biceps. - Vous êtes superbe Laetitia. Allez-vous voir dans le ...