Frasques à Deauville
Datte: 14/04/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Les femmes,
... miroir. Je me déplaçais vers le miroir. En effet, voir mon reflet ainsi vêtue augmenta mon excitation (si c’était possible). J’ai passé ma main sur mon ventre. Le contact du cuir de gant sur ma peau me provoqua la chair de poule instantanément. De l’autre main, je me caressais un sein. Le téton se durcit sous la caresse. Constance vint se coller derrière moi. Elle frottait son corps nu à mon dos, enfin surtout sur le cuir de manteau. Elle lécha mon épaule, enfin le cuir du manteau sur mon épaule plutôt. J’ai passé ma main derrière moi et lui caressa les fesses. Le contact du cuir du gant sur elle la transit. Et lui arracha un profond soupir. Son corps se colla encore plus au mien. Elle se frottait maintenant avec frénésie sur le cuir : - Retournez-vous, me dit-elle Une fois face à moi, elle écarta les pans du manteau, tira une de mes jambes en avant et commença à se frotter l’entre-jambe sur le cuir de la cuissarde : - Caressez moi partout Laetitia, ces gants sont divins. Je passais ma main sur ses seins, sur son ventre. Elle se frottait toujours le sexe sur ma botte. J’agrippais ses fesses à deux mains pour accompagner le mouvement : - Attendez, me dit-elle en s’écartant d’un seul coup. Je notais une trace de mouille sur la cuissarde. Elle prit deux de mes doigts dans sa bouche et se mit à les sucer : - Vous savez où les mettre, n’est-ce pas ? - Oui, je me doute, lui répondis-je en les glissant dans son intimité, provoquant un petit cri aigu de sa part. Je la branlais en ...
... douceur, la pénétrant de deux doigts, mais en glissant mon pouce à la recherche de son clito. De son côté Constance, a pris mon autre main, à glisser mon index gainé de cuir dans sa bouche : - Dans mon cul celui-là … Je glissais mon index dans son fondement. J’accélérais mes mouvements, alternant main gauche et main droite, ralentissais, reprenais … Constance geignait, soupirait, me soufflait des encouragements d’une voix rauque. Enfin, l’orgasme la prit. Il fut rapide, mais à priori intense. Son visage tendu juste avant marqua le bien-être. - Laetitia, vous m’avez gâtée ! dit-elle en reprenant son souffle et sa prestance. Je vais vous donner du plaisir à mon tour. Attendez-moi, je reviens … Elle me laissa là comme une idiote, debout seule au milieu de la pièce. Je m’aperçus que mon sexe tait tout humide. J’ai glissé ma main gantée entre mes jambes. Le cuir était encore tout humide de la cyprine de Constance, que je mélangeais à la mienne : - Ne vous donnez pas de plaisir vous-même, je suis là pour ça. La voix de Constance me rappela à la réalité. Je me suis retournée et surprise, Constance était harnachée d’un gode-ceinture (en cuir noir apparemment). L’appendice n’était pas trop gros, juste ce qu’il faut. Hormis avec Lulu mon vibro (oui, je lui ai donné un petit nom !), je ne suis pas trop adepte des sextoys et en tout cas, pas du tout des gros engins. Celui-là ça allait. Je n’ai pas le compas dans l’œil, je serais donc incapable de vous dire ne nombre de centimètres. Et ...