1. Le Monarque : Danaus plexippus


    Datte: 14/04/2018, Catégories: fh, cadeau, cocus, vacances, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, pénétratio, fsodo, hsodo, confession,

    ... crédibilité pour l’avenir. Demander à ma femme d’être libertine, libérée, avoir de l’audace et de l’imagination, et refuser alors que justement elle est audacieuse et a de l’imagination ? Je m’agenouille. La main de Martine pousse la verge vers moi. De si près, elle me paraît encore plus grande. Le gland paraît un champignon avec le sillon très marqué. On pousse ma tête ; c’est Martine qui doit me trouver trop contemplatif. Lorsque je pose mes lèvres sur le bout, la bite tressaille. Simple réflexe, ou attente particulière de Rémy ? Pourquoi le nier ? Ce n’est pas désagréable. La délicatesse du gland est une vraie surprise. Savoir que c’est la partie la plus sensible, avoir déjà touché le sien du doigt ne prédispose pas à cette sensation. La douceur. La chaleur. L’impression que sous la peau presque transparente circule la vie que le cœur propulse à l’envi. Et que dire lorsque mes lèvres se glissent dans le sillon, et puis un peu plus bas… Et ma langue qui découvre aussi. Mais ma gorge donne sa limite. Pas si mal, après tout ! Comme tous les hommes – enfin, je crois – j’ai déjà essayé de me mettre un sextoy entre les lèvres. Ceux qui l’on déjà fait connaissent cette impression. Impression de faire mieux que sa femme qui ne passe pas le gland et qui croit que cela suffit. Surprise d’autres qui s’aperçoivent qu’ils sont bien loin d’en prendre autant que leur femme ou leur maîtresse, et qui se rendent compte de leur chance. Plus d’une fois, surtout depuis quelque temps, ...
    ... Martine me propose de sucer le gode qu’elle va me glisser entre les fesses. Mais ce soir c’est une bite bien vivante qu’elle m’offre. Et ma foi, le cadeau n’est pas désagréable. Ma main soupèse les couilles. Je pompe la tige, et moi aussi je laisse couler ma salive.« Oh, elle va être en pleine forme, cette queue ! Oui, ma chérie, ton mari te la prépare ! Un mari cocu content que tu transformes en cocu fier de préparer la queue qui va bientôt bourrer son épouse. C’est encore mieux que de n’être que spectateur. » Voilà ce que je pense tout en gobant l’engin. — Tu bandes, mon chéri… affirme une voix à mon oreille alors qu’une main se saisit de ma propre verge. Martine le constate avant moi : en effet, je bande alors que je fais une fellation à un homme. Pourquoi pas ? — Cochon… Vicieux… Pervers… s’amuse à me traiter mon épouse, toujours taquine. Pendant qu’elle me parle, Martine me caresse. Non seulement elle s’est saisie de ma queue durcie, mais elle flatte mes fesses, me guidant afin de me rendre plus accessible. Bientôt je suis à quatre pattes et ma femme couvre mes fesses de baisers. Mon petit trou est chatouillé, titillé et léché. Une voix derrière moi dit bientôt : — Rémy, as-tu déjà sodomisé un homme ? La surprise de la question fait frémir la queue que je suce toujours. — Non. Pour… "Pourquoi" est certainement ce qu’il allait dire, mais lui comme moi comprenons le sens de la question. Ainsi, voilà où elle voulait en venir ; j’aurais dû y penser. Depuis sa découverte dans le ...