Le Monarque : Danaus plexippus
Datte: 14/04/2018,
Catégories:
fh,
cadeau,
cocus,
vacances,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
hsodo,
confession,
... blockhaus, Martine est manifestement troublée par ces deux hommes qui baisaient. Elle veut reproduire ce scénario sur moi. M’enfiler un gode ne lui suffit plus. — Alors viens. Rémy se lève, me laissant orphelin de sa bite. Cette bite que j’ai préparée avec plaisir pour ma femme et qui… Il suffirait de dire non, ou même de quitter la pièce sans un mot. Mais quelle honte ! Refuser ce que je demande à ma femme… Non, je reste. Mais tout de même autant que ce soit confortable. Mes genoux me font mal. Je me lève et m’installe sur le canapé, à genoux, mais sur de la mousse et en appui sur le dossier. Combien de fois ai-je possédé ma femme de cette façon ? Incalculable ! Car très excitante pour moi comme pour elle. Sauf que ce sont mes couilles et ma queue qui pendent et non pas une chatte. Je n’ai pas peur. Après tout, si la queue de Rémy est plus longue, elle n’est pas plus grosse que le gode qui me ramone le cul d’habitude. Un doigt. Martine ou Rémy ? Un doigt qui s’active, petite bite. Et puis un moment de liberté. Je ferme les yeux. Je n’ai pas besoin de regarder derrière moi, car je sais, j’imagine. La salive que l’on me crache dans l’anus : Martine. La main qui branle ma queue : Martine. La main qui guide la queue de Rémy vers mon cul : Martine. La voix qui dit « Allez, Rémy, prends-le ! » : Martine. Mais la pointe qui pousse, déforme mon anus et entre : c’est Rémy, bien sûr. Ensuite, c’est une longue progression avec mes entrailles qui s’ouvrent. Le salaud, il est long… — Tu ...
... n’as pas mal, chéri ? demande mon enculeuse par procuration.— Non. Je réponds, mais je manque de souffle. Ma respiration s’est accélérée. Moi aussi je tortille du cul. Ce n’est pas seulement du vice, mais l’envie de bien le sentir, ce gros machin qui me possède. Un peu comme une femme. Mais d’une certaine façon, c’est ce que je suis. Quelle différence ? Rémy commence à bouger. Il est moins lourd contre moi. Il quitte le reposoir de mes fesses. Il se retire. Mais il revient. Une fois. Deux fois. Encore. Encore. Chaque fois, j’attends le moment où ses couilles stoppent sa poussée. Il recommence. Maintenant, il me baise un peu comme lorsqu’on se contrôle pour posséder une femme et faire monter son désir. — Fouffff… Fouffff… C’est moi qui souffle de l’air à chaque fois qu’il m’encule à fond. Son piston accélère. Adieu, la retenue. Me voici pute que l’on encule au coin d’une rue, sans s’occuper d’elle. Mes fesses résonnent chaque fois qu’il les heurte. La banquette vibre de ses coups. Sa bite va bientôt me ressortir par la gorge… Pour une première fois avec un mec, le fumier ne fait pas dans la dentelle ! Ainsi est enculé le mari par l’amant. Mais qui s’en plaint ? C’est bon. Oui, j’ose dire et écrire que c’est bon de se faire bourrer le cul. Et croyez-moi, le Rémy, il en profite… Je plane. Je ne suis plus qu’une salope dont on profite. Une salope que sa chaudasse de femme branle et qui regarde certainement la queue de son amant pistonner son cul. Je plane, mais déjà j’imagine.« ...