1. Carnet des voluptés : un bien joli secret 1-Frôlements de salon


    Datte: 16/07/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... pourrait paraître la plus innocente possible : je pose mon bras sur l'accoudoir du fauteuil. Lorsque mon coude appuie légèrement sur le haut de sa cuisse, celle-ci ne se dérobe pas. Encouragé par sa passivité sans doute professionnelle, je redresse mon corps sans bouger le coude qui, cette fois apparemment involontaire, appuie sur la chair grasse en glissant sur le nylon de la blouse. Toujours pas de réaction répulsive. Mais notre conversation s'est tarie, laissant place à un silence juste interrompu par le bruit des ciseaux et toujours et surtout par les crissements du nylon de la blouse. Mon regard en coin se ravit de voir la poitrine imposante soulever l'échancrure de la blouse entre les boutons. La dentelle blanche du soutien gorge m'apparait soudain après un mouvement plus brutal et je vois le bord d'un bonnet comprimer la masse de chair gonflée que je suspecte moelleuse. Ce mouvement convulsif a aussi une autre conséquence plus troublante car elle s'est tournée face à mon coude sournoisement placé et je peux sentir alors son ventre pansu, juste à l'endroit où l'élastique des collants s'imprime dans le gras au-dessus du pubis. Je n'ose bouger, maintenant fermement le contact qu'elle semble soit ignorer, soit accepter, me plongeant dans une excitation à l'issue encore incertaine. Le charme se rompt un instant lorsqu'elle doit venir faire le côté gauche. Je veux en avoir le coeur net et je place délibérément en saillie mon coude. L'approche de Sylvie me parait ...
    ... interminable. Je sens des gouttes de sueur couler sur mon front. Cet instant d'attente est un supplice d'incertitude. Et là, soudain, je jubile quand la coiffeuse vient poser sans retenue son entre cuisses contre mon coude. Sans échanger un mot nous communiquons maintenant charnellement et dangereusement dans une discrétion partagée. Instant sublime. Alors qu'elle poursuit ses gestes professionnels, un drame se joue entre ses cuisses et mon coude. J'ose l'appuyer et je sens la douceur ouatée de son buisson où mon appendice de fortune porte son estocade. Je remue doucement le coude démoniaque sans pouvoir atteindre ce graal faute d'outil adéquat mais Sylvie la fidèle, Sylvie la prude, Sylvie la sage, Sylvie la grosse, Sylvie l'angoissée se fait Sylvie la bouillonnante, Sylvie la parjure, Sylvie l'impure, Sylvie la tentatrice, Sylvie la rassurée. C'est elle qui, se hissant sur ses petits talons, vient offrir sa chatte que je soupçonne coulante et la frotter elle-même sur le coude profanateur. Je n'en reviens pas, stupéfié par l'audace autant inattendue que perverse de cette jeune femme qui n'avait probablement jamais osé se laisser même effleurer par un autre homme que son mari. Dès qu'elle a terminé avec mes cheveux elle m'annonce que c'est fini d'une voix étranglée que je peine à reconnaître. Je me lève avec un chibre impressionnant qu'il est impossible de dissimuler et la suis jusqu'à la caisse. Elle est cramoisie. Sans doute regrette-t-elle ce moment d'égarement. Je paie et ose la ...
«1...345...»