Marie-Pierre et Agnès : le réveillon
Datte: 18/06/2017,
Catégories:
fff,
inconnu,
fête,
fsoumise,
fdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
fdanus,
jeu,
sm,
... elle se rappelait des petits jeux au lycée avec Marie-Pierre et Virginie, mais cela n’avait rien à voir, c’était seulement des amusements sans conséquence entre jeunes filles. Il était déjà 23 h 30, l’alcool gagnait peu à peu les esprits. Agnès rigolait de plus en plus souvent sans véritable raison. Minuit arriva, tout le monde s’embrassa… sur la bouche. L’alcool aidant, cela ne choqua pas outre mesure Agnès. Tout le monde se mit à danser, Marie-Pierre invita Agnès et pour rigoler commença à la chatouiller. — Je me souviens combien tu étais chatouilleuse et toi, tu te souviens de nos petits jeux ?— Non… enfin oui, parvint-elle à articuler entre deux fous-rires. Elles se retrouvèrent toutes les deux dans le canapé, affalées et en train de se chamailler. Les mains de Marie-Pierre devenaient de plus en plus entreprenantes, se muaient de chatouilles en caresses. Il y avait un brouhaha propre à ce genre de soirée, fait de musique, de conversations et de rires. Agnès était bercée par le bruit et l’alcool. Et puis une langueur insidieuse, souvenirs d’adolescence aidant, rampait dans son corps et la laissait sans force. Au fond d’elle-même, elle savait qu’elle se devait d’empêcher ces mains de dégrafer le haut de sa robe mais elle en était incapable. Aurélie, une amie de Marie-Pierre placée derrière le canapé, ajouta à la douce torpeur malsaine d’Agnès en lui murmurant à l’oreille : — Oh, la gentille poupée qui se laisse déshabiller ! Marie dégrafa le soutien-gorge, mettant à nue ...
... les seins. Afin de cacher leurs faits au reste des invités, Marie avait laissé les pans de la robe couvrir la poitrine. Aurélie passa ses mains sous la robe par l’échancrure au niveau des aisselles et commença à caresser les seins pendant que Marie-Pierre chuchotait à l’oreille d’Agnès : — Je me souviens que dès qu’on te caressait les seins, tu devenais comme une poupée bien soumise, c’est encore le cas on dirait ! Personne ne se rendait encore compte de ce qui se passait, Marie cachait de son corps l’œuvre des doigts d’Aurélie sous la robe. Agnès se sentait molle et sans force, seulement attisée par le plaisir de sentir ces mains sur ses seins. Elle se sentait comme un pantin à travers les mains d’Aurélie, tout son corps quémandait ses caresses. Les pointes se dressaient. Elle en avait mal de désir. Les tétons triturés, les seins malaxés puis caressés, elle ne savait plus où elle en était. Elle gémissait sourdement. Puis d’un coup, Marie-Pierre referma la robe, Aurélie retira ses mains laissant Agnès rouge de plaisir et de honte. Elle referma elle-même les boutons de sa robe laissant sa poitrine libre sous le tissu. Marie-Pierre rompit le lourd silence : — Va donc nous chercher 3 cocktails ! Agnès était trop heureuse d’être sortie de cette situation honteuse, mais se sentait pourtant frustrée par les caresses interrompues. Elle obéit tout de suite et courut vers le bar. Pendant ce temps Marie-Pierre en profita pour raconter à Aurélie les jeux auxquels elles s’adonnaient à ...