1. Marie-Pierre et Agnès : le réveillon


    Datte: 18/06/2017, Catégories: fff, inconnu, fête, fsoumise, fdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fdanus, jeu, sm,

    ... l’emmène partout et très bien dressée. La scène se passera dans la propriété d’Aude. Chaque personnage arrivera l’un après l’autre, accompagné de son « binôme » si binôme il y a. Agnès resta interloquée, sans voix lorsqu’elle entendit son rôle. Avec un sourire crispé, elle dit y avoir un malentendu, c’était une blague. Marie lui expliqua qu’au début que les nouvelles avait toujours un rôle de ce genre. C’était une sorte d’intégration mais il ne fallait pas qu’elle s’inquiète, c’était juste pour rigoler. Elle lui tendit un verre de digestif pour lui donner du courage. — T’inquiète pas, je t’aiderai dans ton rôle, dit-elle d’un air narquois. Marie-Pierre expliqua qu’elle avait quelques costumes. Elles allèrent donc fouiller dans les placards pour trouver leur compte. Aude trouva une grande robe genre XVIIIème, Sonia une jupe et un chemisier classique, Aurélie une longue robe droite, Marie-Pierre une jupe en cuir et un t-shirt du même goût. Aude dit à Agnès qu’elle avait quelque chose pour elle. En effet elle avait un chien, resté à la maison et par inadvertance, par chance pour ce soir, elle avait gardé dans son sac le collier et la laisse. Marie-Pierre vint près d’Agnès. — Attends, je vais te le mettre. Elle dégagea son cou en défaisant deux boutons du haut de sa robe et passa le collier autour du cou. — Voilà, tu es prête pour être une belle petite chienne. Depuis l’annonce de son rôle et l’alcool aidant, Agnès était dans un état second, irréel. Comme un automate elle se ...
    ... laissa faire. Elle suivit Marie-Pierre, incarnant déjà sans le savoir son rôle. Le décor fut planté. Aude et sa nièce était assises dans le canapé à discuter. Aurélie arriva, elles échangèrent des banalités, commencèrent à boire un verre de champagne. Puis ce fut le tour de Marie-Pierre, elle traversa la pièce avec « sa chienne ». Des gloussements se firent entendre dans l’assemblée. Encore dans le brouillard, Agnès suivait à quatre pattes, puis comme si soudain elle revenait à la réalité, constatant le public qui la fixait, elle se mit à rougir violemment. Elle constatait avec honte et tremblement qu’elle était le clou du spectacle. Ses seins, libres de tout mouvement, ballottaient à chacun de ses pas. Aude regarda avec un sourire moqueur cette nouvelle venue. Agnès dut baisser la tête de honte. Malgré cela, malgré tous ces regards, son avilissement fit monter en elle une chaleur connue. Ses forces l’abandonnaient. Pourquoi donc avait-elle accepté ce jeu ? Ça recommençait comme au temps de son adolescence. Aude continuait à la regarder avec malice : — Oh quel gentil toutou mais il doit avoir trop chaud, il faudrait au moins lui enlever le haut.— Oui vous devez avoir raison, vous pouvez le faire ?— Avec plaisir, j’adore m’occuper des petites chiennes surtout lorsqu’elles sont si mignonnes. Les yeux d’Aude brillaient d’une joie malsaine. — Attends mon toutou, on va t’enlever ça, viens me voir. La laisse passa dans les mains d’Aude qui tira dessus afin d’obliger Agnès à venir à ses ...
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