1. Marie-Pierre et Agnès : le réveillon


    Datte: 18/06/2017, Catégories: fff, inconnu, fête, fsoumise, fdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fdanus, jeu, sm,

    ... pieds. — Voilà, gentille chienne, allez fait la belle que je t’enlève ton vêtement. Agnès, rouge de honte, dut obéir. Elle se mit sur ses genoux et tendit les mains devant pour imiter les chiens. Elle se rendait compte de son ridicule mais ça ne faisait qu’accroître son excitation. Aude dégrafa lentement le haut de la robe découvrant bouton après bouton la poitrine. Elle abaissa le haut de la robe mettant le buste complètement à nu. Tête baissée, imaginant tout ces regards sur elle, Agnès se sentit mollir. — Oh quelles jolies petites mamelles ! s’extasia Aude en caressant des doigts les seins offerts. La lourdeur du désir descendit dans ses seins dont les bouts s’allongèrent. — On dirait qu’elle aime ça. Serait ce une petite chienne vicieuse ? Le désir qui n’avait pas quitté Agnès depuis les caresses de Marie-Pierre et Aurélie s’accrut. Sa poitrine était malaxée, les doigts pinçaient légèrement les pointes, puis caressaient la peau pour enfin revenir pincer plus fort les bouts. La douleur se mélangeait au plaisir. Agnès s’agitait. Ces caresses sur ses seins très sensibles l’amenaient près de la jouissance : un plaisir sourd, profond qui montait lentement mais avec une force inouïe. Après avoir pincé un peu plus fort les pointes, Aude retira ses mains d’un seul coup et laissa Agnès au bord de la jouissance. « La petite chienne » resta dans la même position, avança vers Aude à genoux pour quémander son plaisir. Elle attendait les caresses, tendait sa poitrine tel un animal en ...
    ... mal d’affection. Pendant ce temps-là, les femmes continuaient de converser, jetant un coup d’œil vicieux de temps à autre vers la petite chienne. Agnès resta sur ses genoux plusieurs minutes sans que personne ne s’occupe plus d’elle : Aude s’était intéressé à la conversation en cours laissant la petite chienne faire la belle et quémander des caresses sans succès. Puis d’un coup, comme si elle se rappelait à son souvenir, Aude s’adressa à la maîtresse du toutou : — Mais, pourquoi se trémousse-t-elle comme ça, aurait-elle envie d’un petit pipi ? Marie-Pierre dans un grand sourire de perversité approuva. — Je pense qu’on devrait aller lui faire faire un tour dans le jardin. Aurélie s’offusqua : — Arrêtez, la pauv’ bête, il fait un froid de canard ! Elle a l’air propre, tu n’as pas une bassine, Aude ? Elle va faire dedans, on va l’aider.— Oh oui, tu as raison. Aude ramena une bassine. Agnès n’y croyait pas, c’était un rêve ou plutôt un cauchemar, ça allait s’arrêter, elle allait se réveiller. Mais une obéissance naturelle, l’impossibilité de refuser ce qu’on lui demandait l’obligea à continuer. Et puis personne ne s’offusquait, tout le monde avait l’air de trouver ça normal. Aude, accompagnée des autres femmes, l’amenèrent près de la bassine et la placèrent au-dessus, toujours à quatre pattes. Puis Aurélie enroula la robe au-dessus du postérieur et la coinça dans la ceinture. La belle robe n’était plus qu’un amas de tissu qui ceinturait la jeune fille. Elle baissa la culotte et ...
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