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Quand Margot devient chienne 5
Datte: 16/04/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Première fois
L’atelier.Le soleil était déjà haut dans le ciel. Je me prélassais, allongé dans l’herbe haute qui chatouillait mes pieds nus. Tout à coup, une vache se mit à me lécher le visage. Sa langue me passait sur les joues, dans les oreilles, sur les yeux. Je n’arrivais pas à me relever. Je faisais un effort quand elle me marcha sur l’entre-jambe ! Et ne voilà-t-il pas qu’elle m’appelait !????- Chéri ! Chéri ! Réveilles-toi !Ma femme me couvrait de bisous et avait commencé à branler doucement mon érection matinale. Ouf, j’aime mieux ça. Mais nom d’une pipe comment ais-je pu faire un pareil rêve ?! En tous cas je ne décourageais pas ma douce épouse et bien que pas tout à fait au top de ma forme, je profitais de sa position pour lui enfoncer deux doigts dans l’abricot. Abricot qui soit dit en passant était bien mûr puisqu’il coulait déjà.Tout à mes caresses et à celles que me prodiguait Margot, je me mis néanmoins à reprendre mes esprits et à réfléchir. Ce n’est pas que cela ne nous était jamais arrivé, mais l’amour de bon matin n’est pas une de nos pratiques les plus régulières. Certes nous étions dimanche matin et sans contrainte, mais compte tenu des derniers événements, l’idée que ma petite femme avait quelque chose à me demander ou à se faire pardonner ou peut-être tout simplement qu’elle ne m’avait pas tout dit hier soir commençait à faire son chemin dans les méandres de mes neurones embrumés.Je lâchais prise quand même lorsqu’elle engloutit entièrement mon sexe au fond de sa ...
... gorge. Elle faillit s’étouffer et recracha l’objet de sa convoitise afin de reprendre son souffle. Elle alterna ensuite entre les gorges profondes et la branlette avec juste mon gland dans la bouche. Elle me pétrissait les bourses et s’égarait parfois d’un doigt sur ma rosette ce qui avait le don de faire grossir ma bite d’avantage. A ce rythme là, la chose fut entendue rapidement et je me déversais d’abondance sur sa langue tendue.Nous avons prie notre petit déjeuner sur la terrasse ensoleillée sans qu’elle n’aborde le sujet qui, j’en étais sur, occupait ses pensées immédiates. Je ne faisais rien pour l’aider. J’ai même parlé de mon boulot et demandé ce qu’elle voulait faire de notre après-midi. Ensuite direction salle de bain où une bonne douche nous remis d’aplomb tous les deux.Nous avions décidé d’aller faire un tour au marché. C’est donc équipé d’un panier en osier chacun que nous quittions la maison. Nous pensions trouver une idée pour le déjeuner, après quoi nous irions faire un tour dans le grand parc qui jouxte notre petite bourgade. Une petite balade en barque sur le lac, aller et retour en bicyclette et soirée tranquille à la maison.Ce n’est finalement que le soir qu’elle se décida à me parler.- Tu sais chéri, j’ai réfléchi à la proposition de Bertrand.Tiens, elle l’appelle déjà Bertrand. D’accord c’est son prénom mais jusqu’alors c’était « BHV », même pour elle. Curieux. Mais bon, attendons la suite.- Oui mon amour, et alors, le fruit de cette intense réflexion ?- ...