Quand Margot devient chienne 5
Datte: 16/04/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Première fois
... Laurent ! Ne te moque pas de moi s’il te plaît. Tout ça est tellement nouveau et inattendu pour moi. Tu ne fais vraiment rien pour m’aider. On dirait que tu le fais exprès.- Moi ?! Alors là, non, pas du tout.- Oui c’est ça, quelle mauvaise foi ! Mais bon, passons. Je disais donc que j’ai bien réfléchi et je vais accepter sa proposition.- OK.- Comment ça OK ?! C’est tout ce que tu trouves à dire ? Je viens en gros de te dire que je vais aller rejoindre Bertrand, seule, dans son atelier, me foutre à poil devant lui et toi tu me dis OK !!!- Calme-toi mon amour. Tu ne m’as pas vraiment laissé le temps de développer non plus. Je dis simplement OK parce que hier je t’ai dis que ta décision serait la mienne. Tu dis avoir réfléchi et j’en suis convaincu. Tu décides d’accepter la proposition de « BHV ». Je prends donc acte de ta décision et OK, ça veut dire que je suis avec toi et que je te soutiens. Voilà !- Bon, d’accord, ça va alors. Cela ne te dérange donc en aucune manière ? Tu ne vois rien à m’opposer ? Tu n’as aucune mise en garde à me faire ?- Bébé, arrêtes ! Tu es une grande fille. Tu n’as pas peur de ton corps. Je te fais confiance, point !- Quelle joie de vous accueillir ma chère Margot. Vous êtes radieuse comme toujours. Vous savez que je ne vis plus depuis votre coup de téléphone où vous me « donniez » votre « acceptation » (il choisissait ses mots visiblement). Depuis j’ai pensé à beaucoup de chose vous concernant. Vous verrez, j’ai plein de « projets pour vous » (on en ...
... remet une couche). Mais je parle, je parle, avancez-vous, venez que je vous fasse visiter mon « antre » (et rebelote).La visite fut relativement rapide et elle s’acheva dans l’atelier de l’artiste. L’atelier se trouvait tout en haut de la tour. Plus exactement au dernier étage. Le haut étant une terrasse. Il lui fit faire le tour, la pièce était vaste. C’était un vrai bord…. Pardon, un vrai capharnaüm. Des toiles achevées, d’autres non. Des sculptures sur leur socle. Certaines, la aussi en voix d’achèvement. Sur tous les murs, là où il n’y avait pas de fenêtre ou de porte, des photos, d’autres toiles mais encadrées couvraient les surfaces.Dans un angle, une petite salle d’eau que protégeaient des parois en verre opaque. Un peu à côté, un paravent devait permettre de se déshabiller pensa-t-elle.Et pour finir, des canapés, des fauteuils, certains comme celui du film Emmanuelle, une estrade, des projecteurs sur pied, une grande table jonchée de pinceaux, de tubes de couleur, de papiers, de photos, d’appareils de prises de vue divers et variés et disséminé ça et là, plusieurs chevalets de tailles différentes.- Voici mon antre chère Margot, qu’en pensez-vous ?- Et bien, c’est impressionnant. Tout ceci est nouveau pour moi, j’avoue que je me sens toute petite dans cette grande pièce.- Ne vous inquiétez pas petite Margot, je serai votre « guide ». Voulez-vous que nous commencions dès maintenant ou souhaitez-vous réfléchir encore ?- Non, non, pas de problème, je suis décidée. On peut ...