-
Christine VI : Midlife Crisis (12)
Datte: 16/04/2018, Catégories: Hétéro
A la maison, Christine rentre à 3h du matin le jeudi soir. Elle m’avait dit qu’elle sortait. Son entrée me réveille mais je fais semblant de dormir. Je l’observe se dévêtir. Elle a un porte-jarretelles sous sa robe. Elle le retire. Nue, elle se regarde dans le miroir et je la désire alors ardemment. Je bande dur. Elle entre dans la salle de bains et je décide d’y aller également faire un besoin pressant. Hypocrite, je fais comme si de rien n’était : — Salut. — Salut. Nous sommes nus tous les deux, j’ai un barreau de malade entre les jambes. Je frôle ses fesses en passant derrière elle. Je remarque ses coups d’œil rapides. Je me contorsionne sur les toilettes pour parvenir à faire quelques gouttes puis je me lave les mains, épaule contre épaule avec elle. Je retourne me coucher mais je ne m’endors pas tout de suite. Quelques minutes plus tard, Christine revient dans la chambre et je sens qu’elle m’observe quelques secondes. Alors, elle retourne à la salle de bains et rapidement, je l’entends gémir. Je me relève sans bruit et viens jeter un coup d’œil dans l’entrebâillement de la porte. Assise sur les toilettes, mon épouse se masturbe vivement, caresse ses seins. En pensant à qui ? A quoi ? La réponse tombe sous la forme d’un murmure et emballe mon cœur : — Mon amour… Comme ta grosse bite me manque… Je retourne me coucher, le cœur battant, heureux et rassuré. Je m’endors avant qu’elle ne revienne se coucher. Au réveil, Christine est toujours aussi froide avec moi, mais je sais ...
... qu’elle brûle de l’intérieur. Mélissa revient au travail l’après-midi du mercredi 3 avril après une semaine de vacances et deux jours de travail dans son nouveau job. J’ai organisé une petite réunion de travail à 14h pour son retour et je lui ai préparé un petit cadeau d’accueil pour le début de son contrat à durée indéterminée. Elle entre et s’approche de mon bureau. Elle est très joliment bronzée et son teint hâlé contraste avec son chemisier ivoire et sa jupe courte portefeuille. Je me lève et prenons le risque de nous embrasser assez longuement. — Tu es magnifique, Mel, et tu sembles en pleine forme. — Cette semaine m’a fait un bien fou. J’ai l’impression d’avoir tiré un trait définitif sur le passé. Je peux avancer à nouveau. — Ton nouveau job ? — Super bien accueillie. Pendant deux semaines, je vais faire le tour de tous les départements pour me familiariser avec l’entreprise, j’ai tout un programme d’accueil. Je lui souris : — Et les conditions vestimentaires sont aussi dures qu’ici ? Elle éclate de rire. — Non ! Il n’y a pas de dress code, mais ça semble assez strict. Un peu comme dans une banque. — J’espère qu’aujourd’hui, pour ton premier jour, tu respectes les consignes. — Je te laisse vérifier… Je me rassieds sur ma chaise. Mélissa reste debout et j’écarte les pans de sa jupe. Elle porte des collants et rien dessous. Les collants sont clairs et sa toison noire est bien visible. Je dépose un baiser dessus. Mélissa gémit. — Tu passes chez moi tout à l’heure ? J’ai ...