1. Christine VI : Midlife Crisis (12)


    Datte: 16/04/2018, Catégories: Hétéro

    ... très envie de toi. — J’allais te le proposer. Je me lève, un baiser, et nous allons nous installer à la petite table de mon bureau. Discussion professionnelle. Je lui explique ce que je désire exactement et quel soutien j’attends de sa part. J’apprécie énormément qu’elle ait pu "switcher" très vite entre l’intime et le professionnel. Je lui dis de poser des questions pour tout ce qui ne semble pas clair. Je lui donne plusieurs dossiers à traiter d’ici à vendredi après-midi où nous referons un point de situation. Elle quitte le bureau. A 18h, nous sommes dans son lit et nous faisons l’amour. Divinement. Alors qu’elle est sur moi, je lui demande : — T’as baisé en vacances ? — J’aurais bien aimé, mais non. Le mec qui me plaisait était gay ! Multipliant les orgasmes, Mélissa se montre pour le moins bruyante, surtout vers la fin de notre rapport. Ensuite, je reste un petit quart d’heure avec elle, dans son lit, puis je m’en vais. herhmmbk Le second contrôle vestimentaire a lieu le jeudi 11 avril. Mélissa porte une jupe de tailleur qui lui fait des fesses absolument divines. Je sais qu’à 10h, il y a un meeting qui réunira notamment la plupart de mes contacts internes. J’ai envie de prendre un risque. Je la fais venir. Avant qu’elle n’arrive je me masturbe doucement et enfile une capote quand je suis bien dur. Mélissa entre, fait le tour de mon bureau et constate. Elle sourit. Ni une, ni deux, elle passe les jambes de part et d’autres des miennes, écarte son string et vient ...
    ... s’empaler sur mon sexe. Excitation instantanée. Mélissa sautille frénétiquement sur mon sexe, jouit puis m’emmène l’orgasme à mon tour. Quatre minutes. Elle se redresse, remet son string en place et s’en va en me faisant un clin d’œil. Cette même semaine, Christine rentre à deux reprises plus tard du travail. Une fois à 19h30 et une fois à 21h. Le mardi 16 avril, elle m’écrit qu’elle ne passera pas la nuit à la maison. Je lui réponds de la même manière qu’elle : "ok". En réalité, cette information fait autant de bien que de mal. Elle est positive car elle évite à celui qui reste de se faire du souci en ne voyant pas rentrer l’autre. Mais elle fait mal : Christine va passer la nuit ailleurs. Mais alors que je m’apprête à passer une soirée difficile, je reçois un message de Barbara : "je suis seule à la maison ce soir, tu viens manger ?". Sauvé. J’arrive juste avant elle à la maison. Elle me demande d’attendre dans la rue, car il faut qu’elle désactive les caméras qui filment intérieur comme extérieur. Une fois cela fait, j’entre et nous faisons immédiatement l’amour sur le canapé. Je prends un pied géant, tout comme, apparemment, la jolie brune. Nous faisons ensuite la cuisine ensemble, nous mangeons puis nous discutons dans le canapé en buvant un digestif. Barbara a mis la télévision qui marche pour les alouettes. Alors que je pose mon verre sur la table, j’appuie malencontreusement sur la télécommande. Au milieu des chiffres. La chaine 896 se charge à l’écran. Barbara dit : — Mais ...