1. Laurence se déchaine (6)


    Datte: 17/04/2018, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... pouvoir se mettre à son aise, et attendre que la situation se calme. À l’accueil, elle trouva Joëlle, sa collègue avec qui elle partageait ses secrets de femmes. Cette dernière était assise derrière le comptoir de réception, elles échangèrent un long regard, avant de se faire la bise. — Oups, tu as les yeux dans ton fond de culotte, lui dit-elle !!! — Qu’est-ce que tu veux dire ??? — T’as fait la fête, hier au soir, ma chérie ?? Laurence lui sourit. — Je te raconterai, plus tard... Je suis vidée... Nous nous sommes couchés, à quatre heures du matin... — Houa... Et t’es venue quand même ??? On mange ensemble ??? — Oui, dans mon bureau... — Je ne serai pas en retard, lui dit Joëlle !! Laurence, lui sourit, se redressa, et fila dans son bureau. Joëlle était toute excitée de ce qu’elle allait entendre. tshhix La matinée fut vite passée, Laurence était restée dans son bureau, avec un espoir, que cette crise de forte chaleur dans sa culotte, s’éteigne. Malheureusement, pour elle, malgré, une ouverture importante de ses cuisses, pour éviter le frottement, malgré qu’elle s’active sur ses dossiers, sa tête n’y était pas, elle se sentait de plus belle, trempée, son dard toujours aussi présent, au plus proche de cette culotte, qu’elle décida de retirer pour la poser sur le rebord de son sac à main, en cuir noir, après s’être parfumée les narines de la large auréole de glaire, qui souillait son entrejambe de coton, pour ne plus rien avoir qui frotte sur son entrecuisse en feu. Lorsque ...
    ... Joëlle toqua à la porte, Laurence était loin dans ses pensées, avec tout ce qu’elle avait vécu durant cette brûlante soirée. Joëlle entra sans en attendre une réponse de sa part. Posant son repas sur la table libre, et vint jusqu’au bureau de Laurence, qui avait repris ses esprits, par obligations, venant à la droite de sa copine, jouant la confidente, Joëlle avait retiré sa blouse, portant un chemisier blanc, où se dessine une poitrine ferme, un 90C, mais libre de tout soutard, offrant ses petits mamelons roses qui pointent de désir, le désir d’entendre ce que Laurence va lui confier, une jupe courte, en toile jaune, ses fines jambes, nues de tous bas, escarpins blancs. Elle s’appuya au rebord du bureau, sa jambe droite repliée, à demi-assise, faisant remonter le court pan de la jupe, lui offrant une partie de l’entrejambe blanche de sa petite culotte, que les yeux de Laurence vinrent s’y agripper. — Tu aimes, le paysage te plaît, hein, ma coquine ??? Demanda Joëlle. Laurence lui sourit, ne trouvant pas de mots pour lui répondre. — Je suis tellement impatiente, que j’en ai la culotte trempée... Allez, raconte !!! Laurence se leva, suivie de Joëlle, pour s’installer à la table où elles iraient manger, mais entre-temps Laurence donna un tour de clé à sa porte. — C’est pour être plus tranquilles, dit Laurence !!! Je crois que je suis une salope... Les deux jeunes femmes s’essayèrent l’une à côté de l’autre, et Laurence entama son récit en détail, faisant profiter Joëlle, comme si ...