Laurence se déchaine (6)
Datte: 17/04/2018,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... elle le vivait. Cette dernière, réagit très vite, sa main droite posée haut sur la cuisse de Laurence, allant chercher la vulve béante et nue, d’où s’écoulait une glaire onctueuse et abondante, pour pratiquer un doigter, de circonstance, après lui avoir astiqué quelque peu, son clitoris qui jaillissait entre son épais duvet brun, déjà bien moite, écartelant totalement ses cuisses, où elle pouvait sentir couler sa cyprine, l’excitant de plus belle. Les deux femmes ne pouvaient manger, elles s’affairaient, sur ce récit, l’une à conter, l’autre à écouter. Tant bien que mal, Laurence réussit à lui détailler chaque scène, Joëlle, en feu, la fit se lever, puis la basculant en travers de la table, lui ouvrant les jambes, qu’elle fit replier sur elle-même, pour lui offrir ses deux orifices. — Eh, mais ça doit sacrément te chatouiller, à en perdre ta petite culotte ?? Lui demande Joëlle... Au fait qu’en as-tu fait, ma petite salope ??? C’est vrai que tu en es une... De salope... Je me ferai bien un 69... Mais avant, un fisting est de rigueur... Laurence se mordit les lèvres, car Joëlle, qui elle, s’est placée entre ses cuisses, lui maltraitait sa vulve en y glissant deux doigts, puis rapidement, le troisième, dans ce gouffre, pour adjoindre un quatrième, une grimace de Laurence qui se laisse aller dans cette caresse, et finir par un fisting, lui ayant expliqué auparavant qu’elle avait apprécié cette caresse que lui avait infligé Jean-Marc. Et que régulièrement, elle en était ...
... demandeuse. De plus le bras de Joëlle étant moins large, son col d’utérus se délectait à l’en faire jouir. Ne retenant pas son orgasme, Laurence cria comme elle aime le faire, éjaculant à grande eau de glaire. Joëlle n’en pouvait plus, elle retira son lycra blanc et sans même prendre le temps de se déshabiller totalement elle vint chevaucher Laurence jusqu’à son visage pour se faire lécher sa vulve, brune, alors qu’elle a une chevelure blonde, aux petites lèvres et un clitoris digne d’un petit pénis, que Laurence suça, mordilla... Se plaçant en 69, pour la faire crier dans un plaisir clitoridien, à en éjaculer sa glaire abondante et onctueuse, odorante, sur le visage de Laurence qu’elle but partiellement, tout en la doigtant de deux doigts. Mais déjà, le téléphone tinta, les deux filles se rajustèrent, Laurence garda le lycra de son amie, alors qu’à l’inverse, Joëlle prit sa dentelle blanche, qu’elle huma avant de retourner à l’accueil. Finalement, sans avoir mangé ni l’une ni l’autre. — A toute... Lui dit Joëlle, qui l’embrassa à pleine bouche... Tu es trop bonne... Si mon mari me proposait ta situation, je courrai de plaisirs. Tu es une chanceuse, profites... — A toute... Lui répond Laurence, souriante, merci pour ton conseil, je vais y réfléchir... Les deux filles se séparèrent, pour finir leur journée, encore toutes mouillées, l’une comme l’autre, arrivé 17 heures, l’heure de la sortie. C’est Joëlle qui vint retrouver Laurence, qui était assise derrière son bureau, le pan de jupe ...