Le jour où tout a changé
Datte: 17/04/2018,
Catégories:
hh,
jeunes,
école,
amour,
intermast,
Oral
pénétratio,
hsodo,
init,
Ce jour-là me paraissait être identique à tous les autres : lever, transports en commun, cours, et tout ce qui va avec. Mais je ne pensais pas que ce jour-là allait devenir LE jour… Je m’appelle Julien, j’ai 21 ans, je suis brun, les yeux bleus, pas typé, je mesure 1 m 88 et je suis plutôt mince. Je suis plutôt mignon, mais ça, ça dépend des goûts. L’histoire que je vais vous raconter m’est arrivée l’année dernière. J’avais alors 20 ans, et j’étais en première année dans une fac de la région parisienne en section biologie. Ce n’est pas que ça soit vraiment passionnant à savoir, mais c’est assez important pour la suite de l’histoire. C’était un jour du mois de mai, la fin des cours approchait, et on était tous impatients d’être en vacances. Ce jour-là, j’avais "travaux pratiques". Les TP durent en général assez longtemps puisqu’ils se réservent, sur l’emploi du temps, une journée complète. Bref, il était environ 17 h 30. Les TP se terminaient à 18 h, mais nous n’étions plus que quatre dans la salle en plus du prof. Il restait deux filles à qui je ne parlais pas vraiment et un mec que j’avais déjà remarqué à plusieurs reprises dans les amphis et dans d’autres TP, et que je trouvais, il faut l’avouer, plutôt à mon goût. Je ne savais pas, à l’époque, s’il m’avait lui aussi remarqué, et jamais je n’aurais osé le lui demander. Je restais très discret sur mon homosexualité, et personne ne savait que j’étais gay. Eh oui, j’étais encore puceau à 20 ans, même si ce n’était pas un ...
... choix de ma part. 17 h 45 La deuxième fille vient de partir. Le prof continuait ses allées et venues dans la salle, mais on le voyait de moins en moins. Quand, tout à coup, ce que j’attendais depuis plus de six heures arriva. Je sentis que quelqu’un me tapait sur l’épaule, et je savais qui c’était. Et c’était bien lui. Il était là, à me regarder. Il est grand, plutôt bien foutu, brun, les yeux vert, un beau mec comme on peut les aimer. — Tu veux quelque chose, Yannick ? lui demandai-je.— Oui, tu pourrais m’expliquer un truc à propos de… Et là, il se mit à me poser une question que j’étais incapable de comprendre, tant il me troublait. — Alors ? me demanda-t-il. Je repris mes esprits et lui demandai de me répéter sa question quand 18 heures sonnèrent. Le prof nous pria de partir et, comme pour les autres, de lui remettre notre copie le lendemain. Une fois dans le couloir, je demandais à Yannick s’il voulait qu’on finisse notre rapport de TP à la bibliothèque, mais il me dit qu’elle fermait à 18 h 30, et qu’il nous faudrait sûrement plus d’une demi-heure pour le terminer. Il m’invita alors à terminer le rapport chez lui. À ce moment précis, j’étais dans un état indéfinissable, et je me dépêchai de dire : « OK ». Il habitait à deux pas de la fac, dans une cité universitaire plutôt pas mal par rapport à tout ce qu’on entend à la télé. On a pris l’ascenseur, un long couloir, et nous voila arrivés dans sa chambre. Elle était plutôt grande avec un espace cuisine, un lit, une télé posée ...