Le jour où tout a changé
Datte: 17/04/2018,
Catégories:
hh,
jeunes,
école,
amour,
intermast,
Oral
pénétratio,
hsodo,
init,
... fesses, et je sentis un doigt qui essayait d’entrer. J’aimais ça. — Allonge-toi sur le ventre, me dit-il. Il me lécha la rondelle, et j’adorais ça. Il m’enfonça un, puis deux doigts. Il me préparait le cul superbement bien. — Donne-moi les capotes, dans la table de nuit, me dit-il.— Je peux t’en mettre une ?— Hum, tu deviens entreprenant, j’aime ça. Je lui enfilai la capote, sa bite me donnait vraiment envie de me faire prendre. Je me mis à quatre pattes et je sentis le bout de sa queue toucher mes fesses. Il jouait à me caresser avec son sexe. Il continuait de me doigter le cul, et il me demanda : — Tu veux que je te prenne, t’en as envie ? Je suis sûr que tu vas aimer ça.— Oui, j’ai envie de ta bite, j’ai envie de toi. Vas-y. Je sentis doucement son gland essayer d’entrer. Il entrait, puis il ressortait, et il recommençait à nouveau, puis il ressortait. J’avais mal mais, en même temps, il était très doux. Il me caressait le dos et me pénétrait toujours de plus en plus loin. J’aimais ça, j’aimais tellement ça que je le voulais entièrement en moi. Je lui dis : — Vas-y, prends-moi à fond, je veux sentir ta queue au fond de mon cul. Il me prit de plus en plus fort, jusqu’à un coup de reins magnifique où je me suis ouvert entièrement à lui. Il resta un instant sans bouger. — Tu aimes ?— Oh ouais, j’aime quand tu me prends, Yannick. Il recommença doucement ses va-et-vient, de plus en plus rapides, de ...
... plus en plus forts. Je n’avais presque plus mal, je ne ressentais que du plaisir. Le plaisir de me faire prendre par un mec, par une bite aussi belle, le plaisir d’être comme une femme pour lui. — Vas-y, prends-moi, prends-moi comme ça, oui.— T’aime ça toi, t’es un vrai pédé comme je les aime. Il me déchirait le cul, il me faisait bander. Puis il me dit : — Je vais jouir, retourne-toi. Il sortit sa queue et commença à se branler. Je lui pris des mains et la branlai pour lui. Il cracha alors tout son sperme sur moi, il ne criait pas, on entendait juste un râle qui montrait qu’il aimait vraiment ça. Il m’embrassa et se mit lui aussi à me branler. Il n’a pas fallu attendre longtemps avant que mon foutre ne se mêle au sien sur mon torse. Il me branlait doucement, puis il s’allongea sur moi. On s’embrassait toujours, sa langue me mettait dans tous mes états. Il s’allongea à côté de moi, et nous nous sommes endormis. Nous nous sommes beaucoup revus après cette après-midi-là. On a eu nos examens tous les deux, mais je savais qu’il devait partir dans une autre université pour finir ses études. Donc je savais qu’on ne se reverrait sûrement pas. Mais ce jour-là restera le jour où je compris que j’étais réellement gay. Tous les doutes qui pouvaient subsister en moi se sont évaporés. Heureusement pour nous, avant la reprise des cours en septembre, il nous restait les vacances. Mais ça, c’est une autre histoire…