1. Approche au Lunapark - 1


    Datte: 16/07/2017, Catégories: fh, fplusag, poilu(e)s, vacances, plage, Oral

    Titulaire d’un job d’été à l’Horeca, sur la Côte belge, je me suis trouvé en chômage technique à cause du temps assez moyen qui règne en ce début du mois d’août. Les terrasses des établissements sont désespérément vides et les fauteuils de plage restent sous leur bâche protectrice !! Pour me situer, je viens d’atteindre mes 18 ans et rentrerai en septembre dans une Haute Ecole d’économie. 1 m 78, 70 kg, cheveux foncés courts, yeux verts que l’on me dit se remplir d’or lorsque je suis heureux. Si j’ai accepté un job de vacances, c’est pour amasser un peu d’argent pour améliorer mon ordinaire d’étudiant et pouvoir m’offrir l’un ou l’autre plaisir. Du côté fille, c’est actuellement le calme plat… Juste une petite aventure avec une danoise qui travaillait dans le même restaurant côtier que moi. C’était plus, pour elle et moi, de l’hygiène que du sentiment. Un peu désoeuvré en cette après-midi pluvieuse, je suis rentré dans un de ces « lunaparks » qui fleurissent sur la digue et où les adolescents viennent passer le temps les jours sans soleil. Les divers jeux électroniques sont accessibles à tous âges et ont un réel succès. Bruits d’une musique de fond et des machines… c’est fou… ! Après avoir fait un petit tour de salle, je n’ai rencontré aucune connaissance et comptais sortir lorsque je me suis fait accoster par une dame qui m’a pris pour un employé de la maison ! La quarantaine chic, belle taille, pantalon corsaire assez moulant et laissant apparaître quelques centimètres de ...
    ... ventre nu, débardeur bien rebondi au niveau de la poitrine, teint hâlé, cheveux châtain avec mèches blondes savamment dégradées, sûre d’elle… C’était la vacancière « classe ». Elle semblait un peu perdue dans l’agitation des lieux et me dit : — Monsieur, pourriez-vous m’aider, ma petite fille joue sur ce billard électronique et le jeton de payement est coincé. Je lui ai précisé que je ne faisais pas partie de l’établissement, mais que, bien volontiers, j’allais l’aider. En effet, sa petite fille (peut-être 12 ans) était sur le point de pleurer devant le billard devenu inactif. Elle lui dit : — Aurélie, tu es sauvée, le gentil monsieur va arranger cela. Le gentil monsieur, c’était moi ! Cela a été vite fait, avec la pointe de mon canif, j’ai vite su débloquer la pièce de monnaie et tout est rentré dans l’ordre, à la plus grande joie d’Aurélie qui m’a donné un gros baiser mouillé sur la joue et avec les remerciements de la mère. Je suis resté un peu près du billard pour vérifier qu’il n’y avait plus de problème et c’est alors que j’ai remarqué que la mère avait souvent le regard plongeant vers mon jeans. Il faut dire que je n’avais fait aucun assaut d’élégance. Juste un jeans et un tee-shirt, mais ce jeans moulait très fort mon entrejambe et, à vrai dire, mettait en valeur mes attributs masculins, ma verge presque dessinée par le tissu. Ce n’était pas volontaire… La mère d’Aurélie avait les pommettes un peu plus rouges qu’il y a dix minutes et quelque chose dans son regard se ...
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