Approche au Lunapark - 1 - Histoires de Sexe

Approche au Lunapark - 1

... bon marché sur un corps luisant, mais bien des effluves d’un parfum probablement coûteux. Elle s’était accoudée et moi assis, nos corps étaient vraiment très proches. Elle s’empressa de me mettre la main sur la cuisse et me demanda si je voulais un café ou autre boisson. J’ai refusé et j’ai entamé la conversation en lui demandant si elle était seule ici avec sa fille. Autant savoir !! Elle me dit : — Oui, pour le moment, je suis seule. Mon mari est rentré à notre domicile hier matin et revient déjà après-demain. Sachez que je ne parle pas souvent à des inconnus, mais que hier je vous ai trouvé sympathique et j’ai vu que vous ne seriez pas importun. Je ne suis pas une coureuse d’aventures et mon mari et moi, nous nous satisfaisons très bien mutuellement. Ah ! Bon ! Qu’est ce que je fais alors ici ? Elle me ment ! Sa main qui remontait un peu le long de ma cuisse témoignait à suffisance que, comblée ou non par son mari, elle s’offrirait bien une petite gâterie extraconjugale. !! Peut-être fallait-il la provoquer. Baratinons alors un peu… — Hier, quand je vous ai vue au lunapark, j’ai été ébloui par votre classe, votre féminité. Comment voulez-vous qu’un jeune homme comme moi résiste à une telle attirance ? Sa réponse a fusé : — Allons, allons… ne faites pas le vilain garçon, sinon je vais donner une tape sur vos doigts !! Il faut dire que tout en lui parlant, j’avais malicieusement promené mon index le long de sa cuisse, vers le bord de son maillot. Cela avait provoqué chez ...

... moi un début d’érection. Je me suis levé et, face à elle, j’ai réajusté mon slip de bain et y ai glissé la main pour mieux disposer ma verge vers le haut. Elle ne quittait pas mes mouvements des yeux …. En boutade, j’ai lancé : — Au lieu de regarder ainsi, ne remplaceriez-vous pas ma main par la vôtre ? J’ai dit cela sur le ton de la plaisanterie pour voir jusqu’où je pourrais aller ! C’est à ce moment-là qu’elle m’a dit : — Mon prénom est Marianne et toi ?— Jean.— Ce sera plus facile de nous tutoyer. J’étais toujours debout face à elle, mais les mouvements de ma main dans mon slip, plus les regards de Marianne, avaient maintenant agréablement provoqué une solide érection. Le gland de ma verge s’était découvert et apparaissait presque à la ceinture de mon slip. Marianne n’en ratait pas une miette et elle me dit : — Je vois que vous êtes bien bâti. Mon mari aussi. (Je m’en foutais royalement). C’est agréable pour une femme de voir qu’elle est ainsi appréciée par un homme jeune et beau. Galant, je lui ai répondu : — Comment rester insensible à votre charme et à votre beauté. Votre maturité est troublante pour un jeune sans expérience comme moi (tu parles !). Sorry, nous les hommes, nous ne pouvons cacher notre attirance pour une femme… la nature nous y aide. Traduit en langage vulgaire cela voulait dire : "Si je bande c’est pour toi !!" Marianne appela alors sa fille Aurélie qui, à quelques pas de là ne s’occupait pas de nous et s’amusait dans le sable. Elle lui dit : — Aurélie, ...