Ta meilleure amie
Datte: 16/07/2017,
Catégories:
fh,
ff,
nympho,
pénétratio,
fdanus,
init,
mélo,
lettres,
amourdram,
... bas où s’accumulait tout mon sang. La langue franchit mes lèvres énervées, heurta mes dents. Une pression extérieure d’une main aux ongles acérés sur mes mâchoires les décolla. La place se rendit, l’envahisseur s’y engouffra. Je subis ? Je subis pour apprendre ? Je subis surtout avec curiosité et bonheur. Cette langue enfouie dans ma bouche, ce corps chaud collé au mien éveillèrent une réaction instinctive. Je trouvais ce baiser délicieux, notre étreinte divine. Je nageais dans un bonheur diffus, je rendis le baiser et serrais contre moi ces muscles chauds qui m’affolaient. Ma réplique me valut un assaut encore plus fervent. Ivre de volupté, je fus entraîné sur l’ample canapé. Des mains fébriles me dénudèrent, je fus aussi nu que mon initiatrice dévouée. Grand idiot, je subissais encore sans opposition l’audace de cette fille. J’emplissais mes yeux de l’image de ce corps de femme de mon âge si belle dans sa nudité étalée, scandalisé puis ravi des caresses hardies de ses mains habiles sur mon pénis. Comme ses tétons dans mes mains, ma verge durcit, pieu gorgé de sang, envahi par des milliers de fourmis. Je devins curieux de savoir où me menaient ces sensations. Une main parcourait mon membre de haut en bas, tirait sur le prépuce, le faisait coulisser en tirant sur le frein. C’était à la fois un peu douloureux et si bon. Inutile d’en redemander, Angèle m’astiquait sans fatiguer. J’étais allongé sur le dos, elle s’était agenouillée devant le canapé, couvrait la peau de mon ...
... ventre de baisers ventouses, y laissait avec la langue de larges traînées de salive, me mordillait en riant et continuait sa masturbation affolante. Ses mains se relayaient sur la hampe dressée qu’elle calmait d’un souffle tiède. Des picotements naissaient dans mon gland, filaient par ma colonne vertébrale et embrumaient mon cerveau, des frissons me secouaient des pieds à la tête. D’une main je caressais une épaule, reprenais le coussin moelleux d’un sein, taquinais un téton pointu. Je fermais les yeux sur le plaisir, je me demandais s’il y aurait un après, je me sentais au bout de quelque chose. Soudain une chaleur humide enveloppa mon gland. Je regardai. Était-ce possible, était-ce concevable, était-ce convenable ? La bouche d’Angèle s’était refermée sur l’extrémité de ma verge brandie, mon gland venait de disparaître entre ses lèvres. Ma main s’abattit dans ses cheveux défaits pour retirer la tête. Angèle insista, avala un peu plus de chair. J’étais honteux, mais c’était si chaud, si doux, si extraordinaire : ma main appuya sur la tête. Vaincu par le plaisir, je laissai la bouche monter et descendre sur ma colonne et me mis à haleter. La bouche et les mains se livraient à un jeu de yoyo inédit. Ma surprise surmontée, je jouissais des pulsations qui troublaient mon bassin et j’attendais. Mon initiatrice s’activait, je m’abandonnais. Elle se releva, vint m’embrasser. Son baiser avait pris une étrange saveur. Bouches collées, je sentis ses seins venir s’écraser sur ma poitrine, ...