Ta meilleure amie
Datte: 16/07/2017,
Catégories:
fh,
ff,
nympho,
pénétratio,
fdanus,
init,
mélo,
lettres,
amourdram,
... pointes et vois. Qu’en dis-tu ? Elle avait saisi ma main, placé son téton entre mon pouce et mon index. Je devais le faire rouler entre mes doigts. Je le sentis durcir et je le vis s’allonger. Elle me dévisageait, incrédule. — Oh ! Le timide. Tu n’as donc pas de sœur ? Pauvre garçon. Je vais en faire office. L’autre… Oui, touche l’autre sein : ce n’est pas un péché. Je m’enhardis et pris le second qui salua ma caresse en raidissant à son tour. Je les faisais rouler et m’amusais à les voir grandir à mon contact. — Les filles adorent ces caresses. Tu devras faire la même chose avec Mireille, elle aimera, crois-moi. Qu’en savait-elle ? Et j’eus honte d’avoir complètement oublié « Mimi ». Je lâchai prise et allais m’excuser. — Ah ! Non ! Ne t’arrête pas en si bon chemin. Si tu délaisses ainsi ta petite amie, tu la décevras. Ton apprentissage est à faire de A à Z. Tu as de la veine de m’avoir rencontrée. Tu dois déposer des baisers sur les seins. Allez, pose ta bouche ! Oui, un peu partout, c’est bon. N’aie pas peur… Et là, surtout sur l’aréole et le téton… Voilà, tu comprends vite, ouvre les lèvres et suce légèrement. Brrr, encore… plus fort… Hoooooooo, que c’est bon. Tu es doué… Et l’autre maintenant. C’était un ordre plus qu’une prière. Je n’avais pas envie de me révolter, pensez donc. J’obtempérais. — Et tes mains, à quoi servent-elles ? Joignant le geste à la parole elle plaqua mes mains sous ses globes et m’ordonna de les soupeser puis de les caresser, de les presser et ...
... enfin de jouer au nourrisson. Je pris en bouche, léchai, suçai doucement, tendrement et je me figurais ainsi tétant tes tétons de l‘amie attendue. Angèle soupirait d’aise, m’encourageait à m’appliquer, à m’entraîner en pensant à toi. Tu avais, disait-elle, des seins moins volumineux mais je saurais m’adapter. Douceur et persévérance te rendraient folle de moi si je suivais ses conseils d’amie de notre couple. Elle me reprenait, demandait des frictions ou des pressions moins retenues, plus d’appétit pour la chair tendre. La voix geignait son plaisir. Ainsi geindrait Mireille si j’étais habile. Mireille, Angèle, Angèle, Mireille, je suçais, savourais, m’enivrais. Je fantasmais : Vous me remerciiez, vous me disiez que c’était merveilleux : — Encore, encore ! Le sein échappa à ma bouche. Une bouche s’empara de mes lèvres. Angèle, Angèle, je perdais la boule. Elle était assise sur mes genoux, le peignoir était tombé. Deux bras serraient ma tête, des doigts s’enfonçaient dans mes cheveux. Mes mains s’accrochaient à ses seins, bouées de sauvetage dans le naufrage de mon innocence. Entre mes lèvres serrées Angèle poussait une pointe de langue aussi dure que ses tétons, ses lèvres travaillaient les miennes. Qui aurait pu résister ? J’aurais dû, me diras-tu. Hélas, la chair est faible, tu étais en retard, Angèle m’initiait et mon corps me trahissait, j’avais une terrible envie de me laisser instruire. Mon esprit avait quitté mon cerveau, passait l’estomac et continuait son périple vers le ...