Ta meilleure amie
Datte: 16/07/2017,
Catégories:
fh,
ff,
nympho,
pénétratio,
fdanus,
init,
mélo,
lettres,
amourdram,
... chair peut être triste. Angèle supposa que tu avais eu un empêchement. Par la suite, j’ai supposé que tu ne m’avais pas fixé de rendez-vous et que j’étais tombé dans une embuscade préparée par ta chère amie. Ainsi j’ai connu mieux que tu ne le crois celle que tu nommes « ma meilleure amie ». Quand tu liras mon récit, quand tu découvriras sa façon de t’utiliser pour satisfaire ses envies, que penseras-tu ? La considéreras-tu toujours comme une amie ? Ta meilleure amie n’est pas la mienne. Ce qui précède devrait refroidir ton amitié enthousiaste. Le jeudi soir, à sa demande, je devais la rejoindre en un point précis du parc municipal. Tu y serais, promis juré ! Il y avait un banc de pierre dans un bosquet propice aux rencontres discrètes. La nuit n’était pas tombée, j’arrivai bien avant l’heure, curieux de reconnaître les lieux, légèrement méfiant. Angèle aurait pu me tendre un piège, par exemple pour te prouver que je ne t’étais pas vraiment aussi attaché que je le déclarais : si tu étais postée en observation, ta chère amie aurait eu facile de te convaincre de mon infidélité. Les remords qui m’avaient tenu à distance de toi, depuis le rendez-vous manqué, me déchiraient le cœur et m’avaient rendu un brin de lucidité. Le comportement d’Angèle n’était pas celui d’une véritable amie, sauf si elle agissait à ta demande. Je contournai le bosquet, inspectai les alentours. Rien. Je m’approchai avec précaution. Je reconnus immédiatement ses cris étouffés de joueuse de tennis. De peur ...
... de me tromper sur l’identité de la femme qui jouissait dans le bosquet, après tout, Angèle n’était pas nécessairement la seule à pousser la chanson de cette manière, je parvins, à pas feutrés sur le gazon, à une ouverture entre les branchages. Et je vis. Deux mains posées sur la pierre du banc, tête penchée en avant, cachée par la cascade de ses cheveux longs, fesses en l’air, découvertes par une jupe retroussée sur le dos et portées par des jambes droites, mais écartées, la fille soufflait et laissait échapper une plainte rauque. En face de moi, mains solidement ancrées, cramponnées aux hanches, un type à moustaches fines balançait d’amples coups de reins en direction du bas-ventre horizontal de la demoiselle que ses yeux fixaient avec avidité. Ce n’était ni un tendre, ni un timide, encore moins un débutant. Il tirait les hanches à lui et cognait de toutes ses forces et la plainte de la fille gagnait en intensité. Chaque percussion du gland contre l’utérus lui arrachait une sorte de hoquet. Les deux acteurs étaient endurants, luttaient comme des forçats pour libérer leurs envies. — Alors, ça vient bientôt ? Je n’ai pas que ça à faire ! Lâche-toi ! Et n’oublie pas de te retirer ! Grouille-toi, mon vieux ! Cette fois, le doute était levé. La donzelle pressée d’en finir, c’était bien Angèle. Je n’attendis pas la fin des ébats. Si elle croyait que, délivrée d’un premier amant, expédié en vitesse, elle allait m’offrir un four préchauffé avant l’enfournement de ma zigounette, elle ...