Ta meilleure amie
Datte: 16/07/2017,
Catégories:
fh,
ff,
nympho,
pénétratio,
fdanus,
init,
mélo,
lettres,
amourdram,
... vêtue d’un peignoir léger dont les pans s’écartaient en haut ou en bas au gré de ses mouvements. Par l’échancrure du col je voyais tantôt l’arrondi délicieux d’un sein ferme et bien plein, tantôt une aréole sombre surmontée en son centre par la pointe du sein. Dans le bas, ses jambes en mouvement dégageaient la plénitude adorable des cuisses et je découvris même à plusieurs reprises la tache sombre de son pelage pubien. J’en eus le souffle court. Mais avec une parfaite désinvolture Angèle me déclara en me fixant dans les yeux pour y lire mon trouble ou pour m‘hypnotiser : — Excuse-moi, je sors du bain, il faisait chaud, je transpirais et les odeurs de sueur m’incommodent. Viens t’asseoir au salon. Mes parents rendent visite à des amis. Ta chère Mireille m’a annoncé qu’elle aurait du retard. Maintenant je me sens mieux. Mets-toi aussi à l’aise, pends ta veste au porte-manteau ; tu peux enlever ta cravate cela ne m’offusquera pas. Aimes-tu mon parfum ? Prendras-tu un verre ? Enfoncé dans un fauteuil confortable je reçus la caresse de sa chevelure soyeuse et dus respirer l’odeur enivrante de son cou avant de la complimenter pour la qualité de son parfum. Je la connaissais à peine, je la savais capable de me tenter, de me frôler adroitement pour éveiller mes sens, capable de s’amuser à provoquer une érection. Mais elle avait été l’ange annonciateur de la bonne nouvelle, par elle j’avais appris ton désir de me revoir. J’étais décidé à passer sur son exubérance et sa trop grande ...
... familiarité parce qu’elle me permettait de te rencontrer dans des conditions idéales : dans sa maison, en tête à tête. Personne au salon, personne dans la maison, vous aviez bien choisi le lieu et le moment. Son parfum capiteux, la chaleur de son accueil, le spectacle de son jeune corps m’envoûtaient et je ne regrettais pas vraiment ton retard. Angèle me servit un double whisky pour me faire patienter. Tu ne tarderais pas. C’était mon jour de chance. Fort innocemment elle se pencha pour me remettre mon verre. Ses deux seins bronzés firent un bond hors du peignoir, sous mon nez. J’en fus ému jusqu’au plus profond de mon être. Devant mon visage congestionné, la somptueuse naïade juste sortie du bain éclata de rire : — Mon Dieu, on dirait que tu n’as jamais vu une poitrine de fille ! Eh bien, regarde, profite du spectacle puisque le hasard et les lois de la pesanteur t’offrent cette vue. Le hasard et la pesanteur ou la malice de l’effrontée ? Aujourd’hui je suis certain qu’il s’agissait d’un calcul de la belle. Elle tissait sa toile et ma naïveté lui donnait tous les atouts. — Tu les trouves comment ? Je bafouillais ; ému, surpris par tant d’aisance et de simplicité. — Beaux, très beaux !— Touche-les ! Ne sont-ils pas doux et de belle forme ? Je n’avais rien d’un expert, je devins chèvre et balbutiai, une main tendue vers l’opulente poitrine, incapable de bâtir une dissertation sur le sujet. — Oui, ils sont doux et de belle forme. Euh !— Bien, tu apprécies, merci… Touche les ...