Le fameux ticket de métro...
Datte: 18/04/2018,
Catégories:
fh,
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BDSM / Fétichisme
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... à-coups. Son sexe rugit en moi, tout mon corps est bousculé par ses coups de reins rageurs. Soudain, il se retire, il m’attrape par les poignets et me force à me mettre à genoux de nouveau. J’aime quand il me brutalise un peu, quand il prend le contrôle de nos ébats, qu’il dirige tout. Il le fait, certes, avec une certaine brutalité, mais toujours contrôlée : il sait où est la limite et, dans le fond, il agit avec une tendresse cachée et de l’amour. Mon amant cale néanmoins sa bite entre mes seins et il se branle avidement avec. Mes mains écrasent ma poitrine pour mieux enserrer sa verge. Son gland sort de cet étau, rouge et arrogant, face à mon visage. Parfois, je ne peux m’empêcher de donner un coup de langue sur son bout et d’y goûter une fois de plus sa saveur. Marc s’excite particulièrement entre mes seins, il baise ma poitrine sans retenue, quelques perles coulent le long de son front, son souffle se fait rauque. Une fois de plus, il m’entraîne par les poignets et l’avant-bras vers les quelques marches, devant la cabine de pilotage. Aussitôt, je cambre mon fessier vers lui, je lui présente mon cul rebondi et pose mes mains sur les marches, en signe de soumission. Je suis prête à l’accueillir. Ses doigts dessinent les contours de chaque fesse, passent sur ma fente trempée y entrent pour quelques assauts. Puis c’est au tour de mon petit trou d’être flatté par ses caresses. Un lent mouvement circulaire, je me détends. Une légère pression de son majeur ouvre mon passage ...
... interdit. Je sais que cela le stimule. Quant à moi, je déborde d’envies et de plaisirs. Je gémis d’impatience. Il le prend comme une provocation. Il appuie ses mains sur mon dos, comme pour mieux prendre position. Je sens sa queue effleurer mes petites lèvres, puis venir en moi. Il me prend sans ménagement, j’adore. Toute sa musculature est au service de notre baise. Son sexe coulisse dans mon fourreau sans arrêt, sans retenue. Il règne une ambiance animale dans le wagon, nous crions et gémissons sans gêne. Ses cuisses claquent contre les miennes, sa bite écrase les parois de mon vagin. Ses hanches se frottent contre les miennes. Je sens monter en moi une sensation de satisfaction énorme. Mes jambes semblent faillir, j’ajoute un va-et-vient de mon cul le long de sa verge. C’est trop : je pars dans un cri, soudain étouffée par une vague de chaleur. Je me cambre au maximum, comme pour mieux sentir toute la vigueur de son sexe en moi. Je jouis intensément. Epuisée, mes genoux tombent sur une marche. Mon amant, lui, ralentit sa cadence, puis il se retire, le sexe toujours dans une forme incroyable. Il me susurre au creux de l’oreille : — Reprends ton souffle car ce n’est pas fini. Les jambes pliées, le souffle court, je tente de retrouver mes esprits. Pendant ce temps, je ne distingue pas ce que fait mon amant, j’entends tout juste sa respiration haletante. Un frisson jaillit dans mon dos. Je remarque que cela provient d’un tissu. Je tourne la tête et je vois, en effet, les yeux de ...