1. La lune noire en taureau - Chapitre III Jules


    Datte: 19/04/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... nous étions dans le jacuzzi. Quel bonheur de détendre ses muscles martyrisés. A mon goût, nous changions trop souvent d’emplacements. Mais quand même ! Mes compagnons de voyage m’offraient un vrai bain de jouvence. J’aimerais les remercier. « Je ne sais comment vous remercier pour ce bienfait leur dis-je. - Me remercier, car j’ai pris l’initiative de t’inviter, précisa Jane. - Je vous invite au restaurant, repris-je. - Non, non, j’ai le dos en compote, un massage serait le bienvenu. Pendant que tu prépareras le dîner chéri ! ». A cet instant, je compris que Jane avait échafaudé un plan. Elle voulait un contact physique. Son aplomb m’avait vraiment impressionné et je trouvais Jim relativement serein. Ils sont complices j’en suis certain. Je fermais les yeux pour mieux me détendre. Mais la proposition de Jane m’obsédait. Que voulait-elle vraiment ? Je ne souhaitais pas me retrouver dans un imbroglio affectif. Soudain, une main, celle de Jane, vînt se poser sur mon maillot de bain. Elle remonta jusqu’à la taille, s’inséra entre le maillot et ma peau et plongea vers mon membre alangui par l’eau chaude. Pas pour longtemps, la caresse raviva vite la bête. Rapidement mon dard se dressa, et je sentais à la manière dont sa main l’emprisonnait un réel désir. Ma main s’approcha de sa cuisse proche de la mienne. Je décidais d’aller plus haut. Mon doigt inquisiteur frotta le tissu qui protégeait son abricot. En signe d’acquiescement, elle écarta les cuisses. J’avais la réponse à toutes ...
    ... mes questions. Jane me voulait, et elle m’aurait, quoiqu’en pense Jim. Cette perspective me mît dans un état d’excitation difficile à contrôler. Il était temps de quitter le jacuzzi. Après nous être séchés, mous rejoignîmes le gîte. Je demandais à bénéficier de la salle de bain pour me raser. J’étais tellement excité, que j’envisageais de me soulager moi-même. Mais je savais que je n’avais plus longtemps à attendre. Je me rasais consciencieusement. On ne sait jamais ! Je regagnais le séjour. Jane et Jim semblaient bien perturbés. Jane monta un escalier qui devait aboutir à la mezzanine. Jim me dit doucement : « C’est la chambre à coucher - Ah ! C’est le lieu du crime pensais-je- puis plus fort, bon, je vais préparer l’apéro, - Jules, veux-tu venir me masser le dos ? J’ai besoin de le détendre. » Je montais les marches, à la fois excité par la perspective de Jane à ma merci, et inquiet par la curiosité de la situation. Je pénétrais dans la mezzanine où Jane était étendue sur le ventre, nue, une serviette couvrant son dos et un peu plus que ses fesses « Faites votre travail cher masseur, m’ordonna-t-elle. - A vos ordres chère Madame, répondis-je avec enthousiasme !». Je pris les côtés de la serviette qui l’enveloppait et la plia sur ses fesses. Je préparais mes mains avec quelques gouttes d’huiles essentielles. Je me plaçais entre ses jambes et je commençais à lui masser le dos. Jane me guidait sans aucune gêne : «Oui, c’est bon, plus à gauche, là… ». Je descendais doucement vers ...
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