1. La lune noire en taureau - Chapitre III Jules


    Datte: 19/04/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... le bas de son dos, histoire de vérifier les limites de la dame. Aucun geste. C’est open bar semble-t-il ! J’entreprends les mollets, les cuisses. Je remonte vers les fesses. Aucune réaction, mieux, un encouragement : « Un peu plus haut, encore, tu sens le point de tension… ». J’étais carrément sur son bouton qui bourgeonnait d’un désir qui ne pouvait plus être secret ! Je poursuivais mon exploration entre ses lèvres. Le chemin était déjà bien lubrifié. Jane était à moi. J’entends : « Je sors quelques minutes sur la terrasse de l’accueil pour regarder mes mails ». A ces mots, Jane se tourne sur le dos. Et me déshabille en un éclair. Elle prend ma tête et la porte vers le bas de son ventre. Ma langue s’agite comme celle d’un serpent. Puisqu’elle a décidé de tromper son mari, presque à sa vue, je ne vais pas la décevoir. Son bouton congestionné est une offrande au plaisir. Je musarde entre ses lèvres, je pénètre sa vulve, revient sur son abricot. J’entends sa respiration s’accélérer. Elle gémît. Elle écarte totalement ses cuisses comme une danseuse réalisant le grand écart. Elle m’offre la vision d’une femme à la porte de la jouissance. Sans retenue, sans pudeur, rien que sa vulve gonflée pour ma langue. Elle jouit enfin, libérant des petits cris incontrôlés. Je restais là entre ses cuisses à faire l’école buissonnière. Elle se releva, me mit sur le dos, me murmura à l’oreille : « Je veux te boire ! ». Dans le parallélisme des formes, elle se mit à genoux entre mes cuisses. ...
    ... Ses mains se posaient sur chacune de mes cuisses. D’un mouvement lent, elle les remontait vers mon torse, déplaçant sa bouche vers ma friandise. Elle ouvrit la bouche, et enfonça mon pieu jusqu’à sa gorge. Mon Dieu ! C’est une gloutonne, une gourmande. Elle va le manger entièrement ! Mon bas ventre s’irradiait à la mesure des « va et vient » de Jane. Je prenais sa tête entre mes mains pour qu’elle accompagne la montée de mon plaisir. Quelle s…Elle aime la B…Elle est ardente sur l’ouvrage comme une mort de faim. comme si j’étais un dessert d’exception à un repas d’ordinaire. Elle voulait ma semence. Elle allait l’avoir ! Sa main vient caresser mes bourses pleines à exploser. Une onde magnétique parcoure tout mon corps. Mes jets sont puissants et nombreux. J’ai l’impression que ma source ne se tarit pas. Elle boit, boit, boit encore mon breuvage. J’imagine sa satisfaction à se délecter du nectar d’un autre homme que son Jim. Peut-être n’en a –t-elle jamais eu autant. Elle ne finit pas de me finir ! Un piranha, un cannibale jamais repus ! Je veux la posséder ! J’entends la porte du séjour s’ouvrir. « C’est moi ! Tout va bien ? - Tout va bien mon chéri, Jules est un excellent masseur » Quel sang froid ! « Ah oui, dis Jim ? - Je n’ai plus mal au dos ! » C’est sûr, avec un tel traitement, Jane avait du oublié ses douleurs ! Je me rhabillais rapidement sans oublier de murmurer à la muse de ma jouissance : « Je ne veux pas partir avant de t’avoir possédée coquine, tu ne pourras pas ...
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