1. La lune noire en taureau - Chapitre III Jules


    Datte: 19/04/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... regarder ailleurs. S’en est-elle aperçue ? L’ambiance était à la coquinerie, et Jane et Jim s’y entendaient. A mots à peine voilé, nous évoquions la fin d’après midi torride que mous avions vécue Jane et moi. Jim n’était pas le dernier à plaisanter. J’adorai son auto dérision et le recul qu’il avait sur les situations. Et c’est lui qui lança véritablement la soirée qui restera au panthéon d’Eros : « Je suis convaincu qu’une femme ne peut reconnaître le corps de son compagnon les yeux bandés, affirma-t-il avec ostentation ! - N’importe quoi, repris Jane, chaque homme est différent : la texture de sa peau, ses formes, son odeur. -Et toi Jules, qu’en penses-tu, Jim se tournant vers moi ? » Je ne savais que penser de cette affaire, mais l’hypothèse de Jim méritait une prolongation : « A vrai dire, la vue joue un rôle très important dans l’identification d’une personne. L’obscurité fait perdre beaucoup de références. Comment vérifier ton hypothèse ? - C’est simple, affirma Jules, faisons un test. Bandons les yeux de Jane, et proposons-lui nos index à toucher. - Excellente idée mon chérie. Mais pour que le test ait une valeur scientifique, il faudra me faire d’autres propositions ! » Jane avait plus d’un tour dans son sac et, visiblement, j’allais avec bonheur, en faire les frais ! Délicieuse Jane, à quelle sauce me mangeras-tu ? Nous t’avions placée, assise à califourchon sur une chaise, les yeux bandés, les bras semi tendus, la paume des mains orientée vers le ciel. Jim avait ...
    ... imaginé un protocole sophistiqué qui devait faire perdre toute référence spatiale à Jane. J’étais persuadé que ce n’était que de la poudre aux yeux avant d’en avoir plein les yeux ! Au signal de Jim, je m’approchais de Jane, et je plaçais mon index droit dans la paume dune des mains de Jane. Elle avait une minute pour identifier l’appartenance de l’extrémité proposée. Jane caressait mon doigt, mais j’aurais préféré que ce ne soit pas mon petit doigt ! Partie remise ? Puis après un nouveau protocole silencieux nous nous reculions, Jules demandait à Jane le résultat du test : « Alors, chérie, as-tu deviné à qui appartenait les doigts ? - Euh, pas facile en effet, au hasard, je dirais que le tien était à gauche. - Perdu, c’était celui de Jules, voyons avec les mains… » Je me réjouis de la progression du test. Après la main, que peut-on proposer ? Jane me caressa la main dans tous les sens. Mais à la question posée par Jim, une nouvelle fois, tu te trompais. Fait un effort Jane ! Ce que tu dis ensuite fusa comme un uppercut. J’étais ko debout par la tonalité provocatrice et excitante de ta proposition : «Mes mains ne vous reconnaissent pas, mais mes seins, j’en suis sûr ! - Tu es sûr ? - Oui, oui, j’en suis sûr. Caressez mes seins… » Jim déboutonna le chemisier de Jane. Puis il m’invita à dégrafer son soutien gorge pour libérer ses seins. Je pris le sein droit. Nos caresses semblaient combler d’aise Jane. Le téton que j’avais en main pointait comme un obélisque. Ma verge grossissait ...
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