1. La lune noire en taureau - Chapitre III Jules


    Datte: 19/04/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... échapper à la jouissance de mes assauts. ». Je descendais les escaliers. J’avais un certain embarras. Comment me présenter à Jim le plus naturellement possible ? La meilleure des manières de se sortir d’une situation pesante, c’est l’action. Je devais prendre possession de ma chambre d’hôte. J’en parlais à Jim qui me proposa de m’y emmener. J’acceptais bien volontiers, même si la perspective de me retrouver seul avec Jim dans la voiture m’inquiétait. En effet, dans la voiture, le silence était pesant. Jim me demanda : «Ça va Jules ? - Je me sens calme et délassé. Un peu sonné. - Comme trouves-tu Jane ? » Aie, Jim ce doute-t-il de quelque chose ? Je répondis : « A vrai dire, tu as de la chance de l’avoir à tes côtés. - J’en suis le premier convaincu. - Tu ne la trouves pas attirante ? » C’est sûr, il se doute de quelque chose ! Je bafouillais : « Euh…à vrai dire… - Ecoute veux-tu être mon ami ? » Quelle question ! Où veux-tu en venir Jim ? « Oui bien sûr Jim, dis-je perplexe. - Alors, aucun sujet, aucun tabou, ne doivent faire rempart à notre relation. Es-tu prêt à devenir mon ami ? » J’en ai maintenant la certitude. Jim est complice des infidélités de Jane. Lui dire ou ne pas lui dire. C’est la question ! « Je comprends…Je ne sais pas…Je suis embarrassé Jim. - Tu as quelque chose à me dire ? » Oui, j’ai quelque chose à te dire ! Mais es-tu prêt à entendre les agapes de ta femme, Jim ? « Jane est très attirante… - Et… Et m…Je l’ai b…et elle a adoré. Comment te le dire ? « ...
    ... Je suis un homme, répondis-je platement ! - Bon dieu, Jules, accouche ! Je vais t’aider ! je vous ai vu dans la chambre à coucher. Elle avait mon accord, et tu en as bien profité. N’est-ce pas ? Tu étais donc consentent, Jim. Me voilà soulagé ! « Euh…oui… - Elle suce comment ? » Epargne-moi les détails Jim ! « Jim ! Euh…divinement… - Et tu n’es pas maladroit de ta langue visiblement ! Alors voilà Jules, si tu veux être mon ami, nous devons être complices. La règle du jeu est simple. Tu pourras bénéficier des faveurs de Jane qu’à sa propre initiative. De ton côté, tu n’en prendras aucune sans notre accord. Et si tu tombes amoureux de Jane, alors nous nous ne reverrons plus. Capito ? Moi, je suis d’accord pour tout ! Jane était un bon coup ! « Capito ! » Nous arrivions devant sa chambre d’hôte. Je prenais possession de ma chambre. Je ne risquais pas avec mes hôtes, la soixantaine bien sonnée, de me trouver dans la même situation ! Avec eux, j’allais pouvoir me reposer ! Je regagnais la voiture de Jim. Sur le chemin du retour Jim me dis : « Ce soir je serai le maître du jeu, Jules, et tu en percevras les intérêts. - Vos désirs sont des ordres Monseigneur ! » La perspective de m’introduire dans Jane m’excitait d’avance. Quel généreux homme, ce Jim ! L’apéritif fut des plus joyeux, le dîner qui suivit aussi. La soirée était douce et Jane était resplendissante. Elle portait une jupe et un chemisier qui mettait en valeur ses attraits. Excitante, sensuelle, j’avais beaucoup de mal à ...
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