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Roxane et Alexandre
Datte: 19/06/2017, Catégories: fh, amour, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme poésie,
... contrôle de tout Enfin se rendait compte du bonheur de tout relâcher Enfin ! Pour la première fois Et chassant l’esclave d’une autorité nouvelle Se dirigea debout et nue Conquérante et impératrice Vers moi Désormais À ses pieds… Roxane Nue Dressée devant moi, Alexandre Elle est brillante de l’huile foncée qui la recouvre Les reflets du grand feu comme seul éclairage Son corps est parfait Il avait été préparé longuement par l’esclave Il est lisse et nu et beau Le savant travail de la pierre ponce et de cire avait poli et adouci sa peau Désormais imberbe Restant à ma verticale De son pied Elle dégage nonchalamment mon sexe à demi réveillé En écartant légèrement mes jambes Son pied se glisse par-dessus ou par dessous Ou le bascule doucement d’une cuisse à l’autre Et lui comme un serpent sous le charme Se dresse progressivement vers Elle Mes yeux sont fascinés par l’orchidée entrouverte entre ses jambes Qui apparaît au-dessus de moi furtivement à chaque mouvement qu’elle fait Cette fleur lumineuse et claire, brillante de la rosée du soir Incrustée dans le vallon sombre de ses cuisses Elle s’agenouille Et ses deux mains Comme d’un vase sacré Comme pour une prière Entourent mon sexe plein de désir Cette prière caressante descend plus bas Caresse mes deux ampoules pleines de vie Effleure mes fesses de ses doigts Elle décalotte doucement mon prépuce Pour déposer sur le sommet un baiser encore chaste D’une petite amphore dans sa main Elle m’enduit d’huile Et me masse le corps à mon ...
... tour Ses doigts magiques enduisent mon ventre Glissant de chaque côté de mon sexe Et s’enfoncent profondément Aucun espace n’est oublié Ils s’attardent légèrement entre mes fesses Qui se tendent sur cette caresse interdite Puis ils remontent à nouveau sur ma colonne de chair à vif L’éclat d’une lame brille tout d’un coup Et son œil brille et s’amuse de ma crainte soudaine Je la laisse faire, inquiet et aux aguets Surtout lorsqu’elle descend ce fin couteau vers mon ventre Elle tend la peau flétrie et un peu flasque Et glisse cette lame dangereuse pour très lentement très méticuleusement trancher chaque poil Il y a un plaisir ambigu et violent dans ce mélange de massage et de crissement de la lame Elle néglige l’aine Mais plus bas mon sexe, mes bourses sont désormais lisses et doux L’agressivité de la lame est calmée par l’huile sèche et par les baisers qu’elle dépose Son travail achevé Ses caresses maintenant sont plus appuyées Elle tire ma peau en serrant mes bourses Ce qui décalotte ma verge en même temps Sa langue lape chaque endroit où est passée la lame Comme pour vérifier la perfection du travail Comme pour s’enivrer du goût de ma peau Son nez refait le même parcours pour humer le parfum animal et sexuel Qui perce, sans disparaître sous les odeurs des parfums Doucement elle souffle sans la toucher la partie mise à nue Elle souffle longtemps provoquant de petits soubresauts à ma verge turgescente Elle sait ralentir sa cadence Et parfois serrer la base de chair Pour calmer ...