53.5 Fresque estivale toulousaine.
Datte: 20/04/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... marchandes, propices pour l’observation du petit con. Ainsi, il m’arrive de prendre le bus juste pour le spectacle masculin qu’on peut y retrouver, notamment en début et en fin de journée. Lui, je l’ai repéré à l’arrêt Jean Jaurès. Vingt ans je pense, petit gabarit, 1m70 je dirais, brun, cheveux courts. Un t-shirt rouge vif, et quel t-shirt… moulant à la perfection des pecs admirablement dessinés (le mec doit être soit rugbyman, soit faire de la muscu : très bien gaulé, mais pas bodybuildé), avec les tétons qui pointent… petites manches bien serrées autour de ses biceps, un jeans mettant fantastiquement en valeur son fabuleux petit cul bien cambré, ainsi que sa jolie petite bosse à l’avant. Et son visage, mon dieu son visage… mi-ange, mi-démon, très jeune mais très mec à la fois, adorable et si viril, si « p’tit con » à croquer, juste insoutenable à regarder… pourtant, il m’est tout bonnement impossible de détacher mon regard de lui, trop envie de m’imprégner de son visage, de son physique, de sa joie de vivre (il se marre avec un pote, et mon dieu ce sourire). Le bus arrive, les deux potes montent juste devant moi. Il n’y a plus de place, nous restons debout ; je me retrouve à environ deux mètres de « t-shirt rouge moulant ». Tout est beau chez lui, y compris sa voix, chaude, « une voix de mec » mais douce… ça brûle les yeux de le regarder, mais comment faire autrement ? Est-ce qu'il est conscient de ça, à quel point il est beau et craquant, lorsqu'il se regarde dans un ...
... miroir, dans une photo ? J’ai envie de lui hurler qu’il est atrocement beau… ou bien de l’approcher, de le prendre à part et de lui avouer, comme une délivrance : « Il faut que je te dise un truc, mec… est ce que tu sais que tu es incroyablement sexy ? Que (à cet instant précis où tu es là, devant moi, me faisant oublier jusqu’à mon nom) tu es le mec le plus sexy de la Terre (après l’absolu masculin qu’est mon Jérém) ? Est-ce qu’on t’a déjà dit à quel point tu es splendide ? Il fallait juste que je te le dise, c’est trop violent de me retenir… ». En attendant, j’hurle intérieurement de ne pas le connaître, de ne pas savoir son nom, de ne rien savoir de ce qu’il fait, d’être jaloux à mourir de ses potes qui le voient tous les jours... jaloux de ceux et celle(s) qui ont la chance de le voir se déshabiller, de le voir à poil, dans un vestiaire, dans un lit… Et puis, l’inévitable arrive : à un arrêt, les deux potes descendent. Adieu « t-shirt rouge » hyper sexy, j’ai passé 15 min de pur bonheur « en ta compagnie », comme en état d’hypnose, merci pour toutes ces émotions que tu as provoquées en moi, merci pour cet instant d’éternité où le temps a été pour moi comme suspendu au-dessus de ta jeunesse. Je le regarde partir, en matant ce p’tit cul magnifique remuant scandaleusement à chacun de ses pas, je le regarde s’éloigner vers sa vie dont je ne fais pas partie. Dans un autre bus, mon attention est happée par une bande de mecs ; et parmi eux, un autre apollon impossible… genre 25 ans, ...