Amélie-Garance
Datte: 20/04/2018,
Catégories:
f,
ff,
freresoeur,
volupté,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
Masturbation
... d’orange. Danielle, une des deux employées de maison, doit être en bas à s’affairer. Papa est parti une semaine au Chili pour affaires et maman n’est pas rentrée la nuit dernière, chez une amie qu’elle disait. Danielle est la seule qui s’occupe de la maison correctement. Garance ne commence qu’à dix heures, d’après ce qu’elle m’a dit hier. Nous sommes proches. C’est mon rayon de soleil dans la famille. Elle m’amuse, me ravit, m’encourage dans mon peu de travail. On rigole, on danse, on craque toutes les deux le fric de papa. C’est ma petite sœur chérie que j’adore. Nous sommes complices, elle sait presque tout de mon intimité, de mes relations conflictuelles et chaotiques avec les mecs. Je sais presque tout de la sienne. Sa première relation sexuelle m’a été contée avec émotion et rougeurs mais elle y est arrivée. Ça m’a fait un petit pincement au cœur que ma petite sœur (plus jeune de trois minutes !) soit allée batifoler avec un mec. Je regarde par la fenêtre le ciel de mai qui se lève sur Paris. J’ai les muscles endoloris par une nuit agitée. Ma main caresse mon ventre. Machinalement. L’idée de commettre un viol sur mon propre corps m’a toujours agitée. Peut-être un zeste d’esprit tordu ou une idée de petite garce en mal de sexe. Que sais-je ? Cette idée me prend toujours dans mes petits instants volés de plaisir solitaire. J’aime le sexe. Maman dit toujours « Il y a un âge pour tout, mes petites ; vous êtes trop jeunes ! Quand j’ai connu ton père je n’avais pas eu ...
... d’autres hommes dans ma vie ! J’ai fait l’amour le jour de mon mariage ! ». Oh, que je la déteste avec ses principes minables ! Si elle savait seulement que Amélie, sa fifille, s’était fait plaisir avec un mec dans les toilettes d’une boîte de nuit au rabais lors de sa première fois ! Si elle savait que j’ai amené deux mecs dans mon lit, dans SA maison depuis qu’on y habite. Si elle savait que Garance a connu une nuit d’émoi dans la chambre universitaire d’un grand gaillard de vingt-trois ans ! Tout ceci n’empêche pas que j’aime le sexe. Et je dors depuis six mois. Pas un mec n’est venu entre mes cuisses depuis six mois ! Quand Garance, il y a deux mois, m’a raconté sa nuit, j’en étais verte de jalousie. Alors là, ce matin, je laisse traîner ma main entre mes cuisses. Je suis moite, endormie. Mes poils pubiens s’accrochent entre mes doigts. Je glisse mon index profondément. Je suis un petit peu plus humide qu’au dehors. Je caresse. Lentement, en de courts mouvements circulaires. Mes jambes frémissent imperceptiblement. Oh, que j’aimerais avoir des mains étrangères pour me faire subir ce sort-là. Oh, que j’aimerais me faire mal, toute seule, comme une grande, en me lamentant sur mon sort. J’agite mon doigt frénétiquement. Je palpe mon clitoris qui s’émoustille et se lubrifie. Avec ce traitement sommaire, j’arrive à avoir un orgasme de jeunette. Basique, minable, mais follement bénéfique. Quand je descends prendre le petit déjeuner en famille après ça, je suis de bonne humeur et maman ...