1. Tout est bien qui finit bien


    Datte: 20/04/2018, Catégories: ff, école, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fdanus, f+prof,

    ... fois. — Et je demanderai confirmation à Alex si c’est moi que tu choisis. Ne crois pas m’endormir avec de fausses promesses.— OK. Nos yeux ne se quittent pas, et légèrement rassurée de lire de l’amour dans les siens je lui souris tendrement et murmure : — Embrasse-moi… Marion me sourit et lentement se penche vers mon visage pour un baiser d’une tendresse infinie. Bouches collées, langues agiles je gémis lorsque je sens sa main caresser mon cou juste sous mes cheveux courts. Cette fille embrasse comme une déesse et mon corps tout entier la réclame déjà. Je sens ma poitrine libre sous le sweat frémir, les pointes dressées frôlées par le tissu. Je m’avance vers ma maîtresse pour mieux lui signifier que je suis à elle mais elle ne répond pas à mes signaux comme lors de nos rencontres précédentes souvent finies dans son lit. Son baiser reste passionné mais le reste de son corps demeure à distance, seules ses mains sont posées sur mes genoux. Jouant mon va-tout je cherche à caresser sa poitrine à travers son pull que je devine très léger mais elle se dérobe, lâchant ma bouche dans le même mouvement. — Non, ce n’est pas une bonne idée. Les yeux brillants, je l’implore : — J’ai en ai très envie…— Moi aussi, Maud, mais quand tu auras fait ton choix. Pas maintenant. Ses yeux ne mentent pas et je comprends son attitude même si au fond de moi je crève d’envie de faire l’amour avec elle. — OK. Je me lève, ramasse mon sac et lui fais signe de rester assise. — Laisse, je connais le ...
    ... chemin. Je te rappelle samedi prochain. Deux minutes plus tard je suis dans la rue, les larmes aux yeux, marchant comme une automate vers ma Mini garée devant la piscine. ********** Assise à mon bureau je regarde la feuille blanche devant moi. Le papier est séparé en deux colonnes vides pour le moment comportant les noms d’Alex et de Marion. D’après un psy qu’une amie dans le même cas que moi a consulté, cet exercice est censé lister les avantages respectifs de la vie commune avec l’un ou l’’autre. Et je sèche complètement sur ma copie… Je n’ai pas de nouvelles de ma maîtresse, et tous les jours je résiste à l’envie terrible de lui téléphoner. Mais connaissant son caractère, je sais que ce serait une mauvaise idée. De son côté, Alex, inconscient de ce qui se trame en secret, me fait du Alex : il est gentil, lisse, un peu mou et même pas surpris que je refuse de faire l’amour pendant une semaine entière. Je froisse la feuille de rage et la jette dans la poubelle, quittant le bureau dans la minute pour rejoindre mes collègues pour leur traditionnel apéro du vendredi auquel je participe parfois. En route, je préviens tout de même mon époux. — Alex ? J’aurai une heure de retard. Tu ne couches pas Stella ?— Pas de souci. À tout à l’heure chérie.— À tout. En raccrochant, je me rends que je lui parle comme à une baby-sitter, lui donnant des ordres sur les horaires du coucher de ma fille. En fait, ce n’est plus mon mari mais un employé de maison certes attentionné mais dont la vie entière ...
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