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Un père admirable (13)
Datte: 20/04/2018, Catégories: Inceste / Tabou
Un père admirable (17) [Jessica dans la cuisine] Je m’étais réveillée de très bonne humeur dans les bras de mon père. Découvrir son visage qui me souriait en ouvrant les yeux m’avait remplie d’un bonheur intense. Je pensais qu’il m’avait invité dans son lit pour que nous vivions ensemble ma première fois. Au lieu de cela, nous nous sommes endormis, blottis l’un contre l’autre ; et j’avais passé une merveilleuse nuit dans ses bras. Je prenais mon petit-déjeuner en regardant mon père remplir le lave-linge. Il portait un costume gris perle avec une cravate assortie, et une chemise blanche. Sa veste épousait ses épaules carrées et puissantes. Son corps appelait le mien, encore vibrant de ses caresses. Ma peau frissonnait en me remémorant nos merveilleux moments d’amour. Je poussais un long soupir de désir. Lorsque j’eus terminé de laver la vaisselle, il m’attira dans ses bras pour m’embrasser tendrement. — Tu as bien dormi ? demanda-t-il. — Très bien. Il m’embrassa encore, en me serrant plus fort contre lui. — Je ne veux plus que tu quittes mon lit, murmura-t-il entre mes lèvres. Un désir brûlant parcourut mon bas-ventre. Ma peau frissonna de désir lorsque je sentis son sexe en érection pressé entre nous. Je lui rendis son baiser plus passionnément. La caresse de sa langue enflammait mes sens. Je sentais déjà mon tanga s’humidifier. — Eh bien, jeune fille ! s’exclama-t-il les yeux brillants et les joues rouges. Je l’attrapais par la cravate pour presser ses lèvres contre les ...
... miennes. Je ne supportais pas qu’elles soient séparées. Il ouvrit des yeux ronds de surprise et gémit lorsque je me mis à caresser la bosse qui déformait son pantalon. Objet de convoitise, source de mes désirs, … Je mourais d’envie de le sentir en moi. Mon père me serra encore plus fort contre lui. — Je ne suis pas sûr qu’on ait le temps… Je l’attirai de nouveau à moi sans le laisser terminer sa phrase. — Qu’est-ce que tu lui veux, à ma cravate ? me demanda-t-il en se dégageant. — Elle m’excite ! Ses lèvres s’étirèrent pour laisser échapper un petit rire surprit entre les miennes. Je plantais mes yeux dans les siens en ouvrant sa braguette, mon père poussa un long soupir de désir ; je m’aidai de mes deux mains pour libérer doucement son sexe. Je gémis en le sentant bien dur, gonflé et mouillé d’envie. J’avais tant rêvé de l’attraper par sa cravate pour le soumettre à mes désirs... Et là, il était en mon pouvoir, je me sentais puissante ; finis les premières caresses maladroites. Ce week-end de tendresse et de passion m’avait donné une très grande confiance en moi. Je voulais que mon père soit mon premier homme, et je l’aurais ; je me l’étais promis. Il répondit à la fougue de mes baisers en caressant mes seins du bout des doigts. Ses légers effleurements me faisaient frissonner de plaisir. Je caressais son sexe en faisant de doux va-et-vient ; il glissait aisément dans ma main, aiguisant mon désir. De l’autre, je caressais ma minette sous la dentelle trempée de mon tanga. La ...