1. Un père admirable (13)


    Datte: 20/04/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... professeur qui passait discrètement et lentement de table en table pour voir où chacun en était. Sans doute s’ennuyait-il aussi. Je glissais discrètement ma main sous ma jupe : mon tanga était trempé. Je le frottais doucement sur ma minette. Mon clito se dressa aussitôt et mon vagin mouilla abondamment. J’étalais le sperme de mon père sur toute la surface de ma fleur et à l’entrée de mon intimité. J’y enfonçais doucement la dentelle avec l’aide d’un doigt, me caressais avec le tissu. Je découvrais cette agréable sensation... Toute excitée, je l’insérai profondément en moi, sous mon tanga. Un long filet de mouille s’échappa aussitôt. Je contractais fermement ma mâchoire pour retenir mes gémissements de plaisir. Après avoir tant joui pendant deux jours, je devais apprendre à être discrète. Je trouvais cela très excitant de me donner du plaisir avec du monde autour de moi, sans que personne ne se doute de rien. Quelle drôle de sensation brûlante, piquante, et puissante ! Je caressais doucement mon clito gonflé. La chaleur d’un intense plaisir envahissait mon corps, des ondes électriques hérissaient ma peau. Je repensai aux doigts de mon père qui s’étaient faufilés discrètement sous ma jupe. La façon dont il s’était caressé à côté de moi, sans que je puisse le toucher. J’adorais sentir son sexe bien dur et gonflé glisser entre mes petites lèvres pour les caresser. Il était si doux… J’adorais l’embrasser, mais j’avais envie de le sucer. Je voulais sentir la caresse de son sexe ...
    ... sur ma langue, le sentir pénétrer ma bouche. J’appréciais aussi de sentir le doux contact brûlant de son sperme arrosant ma minette ouverte. J’étais totalement fascinée par ces longs jets. Ma minette émit un bruit de succion, m’arrachant à mes pensées érotiques. Mes voisins, derrière moi, chuchotaient doucement. Soupçonnant mon indiscrétion, j’arrêtai aussitôt de me caresser. Le professeur, penché au-dessus d’un bureau voisin, me sourit. Je surpris son regard glisser sur ma main, qui était encore sous ma jupe. Je me sentis rougir jusqu’aux cheveux. — Tu as terminé ton devoir ? demanda-t-il d’une voix caressante. J’acquiesçai d’un mouvement de tête, trop intimidée pour parler. Le professeur s’assit à mes côtés, prit ma copie, et commença à la lire. — Vous pouvez continuer, dit-il. J’ignorais s’il s’adressait à moi. Il me jetait des coups d’œil furtifs en souriant. La peur d’avoir été surprise provoquait les battements précipités de mon cœur. Je me sentis honteusement rougir lorsqu’il m’adressa un clin d’œil. Le bleu de ses yeux me sembla encore plus lumineux. — Lorsque votre devoir sera terminé, vous sortirez discrètement en pause, sans oublier de le déposer sur mon bureau, lança-t-il à la classe. Je profitai qu’il soit penché en arrière vers mes camarades pour jeter un œil curieux dans l’échancrure de sa chemise. Elle dévoilait sa peau claire, d’apparence doucereuse. Quelques poils fins et noirs ornaient son torse. Il surprit mon regard et me sourit. Comme ses yeux étaient ...
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