1. 54.8 Le jeune loup à poil doré et le bel étalon à poil très brun.


    Datte: 20/04/2018, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... t-shirt d’un bleu intense et brillant, une couleur chargée et racée qui se combine parfaitement avec le teint mate de sa peau, avec le « brun » de ses cheveux, de son regard, de ses tatouages, leur donnant encore plus d’éclat, de profondeur, d’intensité. Le bleu intense, une couleur qui renforce et sublime le côté mâle brun de mon Jérém. Inutile de le préciser, il s’agît d’un t-shirt très bien coupé, le coton doux moulant son torse de malade et restituant sa plastique dans les moindres détails. Le bogoss porte également une casquette bleue avec grandes inscriptions blanches, la visière légèrement tournée sur le côté : à craquer. Un short noir met en valeur son bassin et ses cuisses musclées de rugbyman. Alors, la question reste entière : quoi dire à propose de cette tenue aveuglante, de son look bogoss à mourir, à part que je suis en train de perdre quelques milliers de neurones, grillant comme des ampoules à filament, à chaque seconde que mon regard reste aimanté sur lui ? PUTAAAIN !!!!!!!! Mais pourquoi ce mec est si parfait, pourquoi c'est si bon, et ça fait si mal en même temps de le regarder, au point de ne pas pouvoir en détacher les yeux ? Ce mec est juste la perfection. Et le sourire qu’il me balance, chaud, charmant, lumineux, plein de promesses sensuelles, est bon pour me faire disjoncter. Le bogoss tient son téléphone à la main. « Alors, tu t’impatientais ? » je l’entends se moquer de mon sms, pendant qu’il monte la dernière marche et qui passe le seuil de la ...
    ... maison. Putain, qu’est-ce qu’il sent bon ; et putain, qu’est-ce que j’ai envie de lui. Si je m’impatientais ? Ma réponse ne viendra pas avec des mots mais avec des actes. Je pousse la porte, je l’attrape par les biceps, ces biceps tatoués et musclés qui me remplissent les mains de sa puissance de mec ; je l’attrape et je le colle au mur ; je m’élance vers lui, je tourne un peu plus sa casquette et je l’embrasse ; j’y vais direct, je pose mes lèvres sur les siennes, je l’embrasse fougueusement, instamment, longuement, alors que mes mains se faufilent de part et d’autre de son cou puissant, s’enfoncent dans ses cheveux bruns, caressent sa nuque, ses oreilles ; ma précipitation est telle que, bousculée par la fougue et l’impatience de mes mouvements, la casquette finit même pas voler. Oui, je l’embrasse, comme un fou, affamé, insatiable ; et même si au départ ses lèvres restent immobiles, le bogoss se laisse faire, c’est un bonheur total ; un bonheur qui est encore décuplé lorsque ses lèvres s’ouvrent enfin et que sa langue vient engager un duel musclé, mais pas moins sensuel, avec la mienne ; ses mains se posent à leur tour sur mes épaules, ses doigts caressent le bas de ma nuque. C’est intense, puissant, incroyable ; je ne pourrais pas dire combien de temps cela a duré : un baiser de mon bobrun m’arrache du présent pour m’emporter dans une dimension où plus rien n’existe, et surtout pas le temps, à part sa présence, la seule chose dont j’ai besoin. Lorsque le contact de nos langues ...