1. notre voyage de noces (2)


    Datte: 21/04/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    Béa vient de partir et j’ai un peu la boule au ventre car je me doute de ce qui va se passer ; difficile de rester calme et je me branle en l’attendant et en pensant à ce qui se passe dans l’autre cabine à quelques mètres de moi. Soudain je sursaute car je m’étais endormi ; je regarde ma montre et je suis surpris de découvrir qu’il est plus de minuit ; cela fait plus de deux heures qu’elle est partie ; énervé, je m’apprête à la rejoindre quand la porte s’ouvre et je découvre une Béa, défigurée par la fatigue, les yeux cernés. Près à rugir, elle me met le doigt sur les lèvres et me dit « tais-toi, écoute-moi jusqu’au bout sans rien dire, ensuite tu feras ce que tu veux » stupéfié, je me cale dans le lit, prêt à écouter, avec une certaine appréhension son récit. « Quand je t’ai quitté, j’ai vérifié que le couloir était libre avant de rejoindre sa cabine ; ne voyant personne, je me suis dirigée vers chez lui, mais alors que j’y arrivais, une porte s’est ouverte et deux jeunes en sont sortis ; face à face, je n’ai eu que le réflexe de porter mes mains sur mes seins, à peine voilés. Pour eux aussi c’est une surprise, et même une belle surprise car ils peuvent découvrir ma quasi-nudité. J’essaie de m’échapper, mais l’un des jeunes me rattrape et me bloque sur la paroi « Que fait une belle fille, à moitié nue à cette heure dans le couloir ? Devant mon silence, il me secoue un peu et m’écartant les bras, il découvre mes seins, les pointes tendues « Waouh, réponds où vas-tu » et ...
    ... stupidement, je lui réponds que je vais rejoindre un homme dans sa cabine ; « ton mari ? » « non » ; ils sont compris, d’autant plus que me prenant la main, il me montre mon alliance « c’est vilain de tromper son mari, s’il l’apprend, il ne va pas être content, il va falloir être gentille avec nous, car sinon !!!!!! » et je connais une deuxième erreur « il est au courant ». D’abord surpris, ils réagissent très vite ; comprenant que je suis à leur merci, ils commencent à me peloter, puis l’un deux m’attire et essaie de m’embrasser, alors que le deuxième porte sa main sur mon pubis, s’infiltrant entre mes petites lèvres puis en ressortant ses doigts il s’écrie « putain, elle est toute mouillée ». Rapidement leur porte s’ouvre et je me retrouve dans leur cabine, à leur merci et très vite ils en profitent ; ma nuisette est arrachée, ma chatte est fouillée, mes pointes de seins sont triturées. A ce régime, je ne tarde pas à gémir tant le plaisir monte. Ils ont compris qu’ils vont pouvoir profiter de moi, et en effet, l’un deux me jette sur le lit et alors que l’autre m’embrasse fougueusement, il se déshabille et plante son dard à l’entrée de ma grotte ; une poussée et il est au fond de moi, sa tige est grosse et longue et quand il commence à me pistonner, son gland vient buter au fond de ma matrice ; il me remplit, distant mes parois et provoquant bientôt ma cyprine ; ardent, il me besogne un long moment, alors que l’autre me présente sa queue à sucer ; j’aime la sucette, tu le sais ...
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