1. notre voyage de noces (2)


    Datte: 21/04/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... mais là sous les coups de butoir, j’ai du mal, et il sait s’y prendre. Sous les assauts répétés, j’éclate brutalement, ma jouissance déferle, bruyante et l’autre doit m’enfoncer sa queue profondément dans la gorge pour étouffer mes cris ; ma cyprine déferle facilitant la pénétration et quand il se retire après m’avoir fécondée, j’ai la chatte béante ; si j’ai pris beaucoup de plaisir, j’essaie cependant de me dégager en pure perte, bien au contraire, car me plaquant sur le lit, la tige dressée, l’autre me tire à lui et sa queue, épaisse, bandée se frotte sur mon ventre quand il la présente à l’entrée de ma vulve, je ne résiste pas et c’est moi qui m’empale sur son vit. Accroché à mes épaules, il me pourfend, alors que de mon côté j’essaie de le prendre au plus profond de moi ; une deuxième vague de plaisir me submerge. Soudain je sens un gland se frotter sur mon sillon ; j’ai peur qu’il me sodomise et je me cabre, ce qui finalement fait un peu plus ressortir mon fessier, mais ce n’est pas ma corolle qu’il percute, mais en double, c’est ma chatte qui encaisse le chibre. Ecartelée ma grotte encaisse les deux zobs et à tour de rôle, ils mènent la saillie ; je ne suis plus que plaisir, encaissant les deux membres qui me comblent autant physiquement que mentalement. Plusieurs fois, ils vont me faire jouir, se retirant parfois, pour mieux me percuter ensuite ; avec tantôt une queue, tantôt deux pour me défoncer, ils ont joué avec mon corps, me triturant les tétons, me ramonant ...
    ... le conduit dilaté par ses deux sexes. Pour eux, je n’étais qu’un jouet, jouet dont ils ont profité sans vergogne, me traitant parfois de « petite salope », me rappelant aussi que je te faisais cocu. Je n’ai pas vu le temps passé, tout au plaisir qu’ils me procuraient ; j’étais tout à eux, et ils le savaient et ils en ont profité. Par deux fois, ils m’ont fécondé, emplissant ma chatte de leur jute, déclenchant pour moi, le plaisir d’appartenir à ces deux mâles très puissants. J’avoue qu’entre leurs bras, possédée, baisée, soumise à leurs envies, je n’ai pas beaucoup pensé à toi. Ce n’est que quand, après une nouvelle fois m’avoir prise, ils se sont avachis sur le lit, me délaissant, fourbue, pleine de sperme, que j’ai enfin réalisé que tu m’attendais depuis un long moment. Récupérant les débris de ma nuisette, j’ai voulu m’enfuir. M’emprisonnant encore une fois, ils m’ont fougueusement embrassée, m’encourageant à les rejoindre plus tard. En courant, je t’ai rejoint, complètement nue, au risque de rencontrer à nouveau quelqu’un. » Elle se tait, des larmes coulent sur ses joues, avant de me demander pardon de s’être ainsi offerte sans réserve à ses deux hommes, de m’avoir fait cocu. Il me faut beaucoup de patience avant de lui faire accepter que ce n’est pas le cas, que c’est moi qui lui ai proposé et que son récit m’a beaucoup excité. Pour la calmer, je la caresse doucement, descendant jusqu’à son ventre, avant de la pénétrer avec deux doigts ; sa chatte est engluée par les ...