1. De Hervé à Vanessa, chienne soumise (20)


    Datte: 21/04/2018, Catégories: Transexuels

    08h00, le réveil est des plus charmants. Je sens des langues sur mes lèvres. J’ouvre mes yeux et je vois mes deux amantes chéries. Je me pose sur mes coudes et c’est à mes seins qu’elles s’attaquent. Je les laisse faire. Malika m’empoigne la queue et me branle. Ma réaction m’étonne. Bien sûr, je bande, mais pas de jouissance aussi foudroyante qu’hier. Je la laisse donc, profitant de la douceur de sa main. On s’embrasse à trois, notre jeu de langue finit de nous réveiller. On se câline un petit moment quand Théna dit qu’il serait bon de ne pas trop traîner au lit et d’aller prendre un copieux petit déjeuner. On arrive dans le salon où nous attendent les trois sœurs. Comme dans un grand resto, elles nous tirent les chaises et nous font nous assoir. On se jette tous sur le café, les viennoiseries, le jus d’orange et autres délices. — Alors mes chéries, bien dormi ? Demande Émile en descendant de la passerelle. Il est habillé d’un pantalon de toile bleue, d’une chemise blanche et d’un spencer bleu avec des galons dorés aux manches. — Oui, Émile et toi... Lui répondis-je. — Très peu, Vanessa, très peu... — C’est sûr, elle est bonne la petite Axiana ? — Elle manque de caractère, je préfère les trois sœurs, mais elles étaient occupées avec Maria. Lui répondit-il sur un air amusé. — Qui parle de moi. Bonjour les enfants. Elle aussi est habillée comme Émile, enfin presque puisqu’au lieu du pantalon, c’est une jupe plissée bleue. — Bonjour Tatoune. Nous répondons collégialement. Elle ...
    ... nous sourit et sert Émile qui, comme un prince, lit son journal. On se regarde tous les trois et l’on se met à rire. Puis il lève son nez, sur lequel sont ajustées lunettes de lecture. — Alors pour votre folle journée, on a décidé de vous octroyer un peu plus d’indépendance, c’est pourquoi voici vos cartes de crédit. Elles sont plafonnées à 100 000 euros. Vanessa approche s’il te plait. Il te manque quelque chose pour sortir librement de ce bateau... Je le regarde bêtement. — Voilà, ma belle... Il sort un passeport et une carte d’identité grecque. — Bienvenue, chère compatriote... Il n’a pas le temps de finir sa phrase que je viole littéralement sa bouche. Il en est heureux, ça se lit dans son regard pétillant. Les effusions de joie sont interrompues par l’arrivée de Caro et David, eux aussi apprêtés elle dans une jolie robe à grosses fleurs bleues et de jolies sandales de la même couleur, lui dans une jolie chemise Hawaïenne rouge, un jean et des tongs. Tout l’équipage est aussi en tenue. À mon regard plus qu’interrogateur, Émile me dit qu’il reçoit d’importants clients, qu’il ne pouvait pas les recevoir à poil. David et Caro profiteront avec nous de l’annexe. Adélia nous déposera à la capitainerie et ramènera les clients. Choses dites et expliquées, David nous donne rendez-vous dans notre cabine, après le petit déjeuner. Dans l’entre-fait, arrive Domi, habillée à l’identique de Maria. — On est au mouillage "trois", Émile. Dit-elle. — Parfait ! " Monsieur Émile est demandé à ...
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