1. De Hervé à Vanessa, chienne soumise (20)


    Datte: 21/04/2018, Catégories: Transexuels

    ... chemisier blanc et tennis de toile blanche. L’absence de marque trahit son non-port de sous-vêtement. Caro et Davis nous attendent dans la petite vedette. Axiana met les gaz. — Demain matin je dois aller vous chercher. À 11h00. Nous précise Anxiana. On est sur le quai de la capitainerie, on est accueilli par le maître du port, on ne s’éternise pas, notre taxi est là. Je ne me rappelle plus de son prénom, mais c’est le même qui m’avait emmené à l’institut. On se sépare de David et Caro. Il nous demande où nous emmener. Malika lui dit de passer chez "Christine Laure". Notre chauffeur nous emmène à allure de sénateur. Ce n’est plus son monospace de la dernière fois, mais d’une "Mercédes classe G". Un gros 4x4 noir aux vitres teintées. À l’intérieur de la boutique, personne, mise à part une femme la cinquantaine, trop habillée, trop maquillée, trop parfumée pour ces chaudes journées. — Mesdemoiselles... — C’est pour moi, lui dis-je. — Que cherchez-vous ? — Ça, en lui montrant les tenues de Malika et Théna. — Mais bien sûr, suivez-moi. — Adélia, viens avec moi. Les deux autres filles nous ayant lâchés pour flâner dans les rayons. — Pour les jupes c’est ici, pour les hauts, là-bas. Les cabines d’essayage sont au fond à droite. — Tu fais du combien, Alexia ? — Du 36-38 Pourquoi ? — T’occupe, on va avoir un succès de dingue habillées toutes pareil. Hihihi. Elle me sourit. Je prends deux mini-jupes et deux hauts identiques que les filles portent, je me demande si Malika n’a pas ...
    ... acheté leurs tenues ici et le fait de nous y avoir emmenés direct, la coquine. Je me dirige vers les cabines d’essayage. Elles sont assez vastes pour que l’on y rentre à deux. Adélia va pour refermer le rideau, je l’en empêche. — Non, laisse-le ouvert. Tu n’as pas vu comment elle nous reluque depuis qu’on est rentrée ? — Euh, non... Je me déshabille, Théna me suit. Comme je l’avais prédit, elle est entièrement nue et moi avec mon tanga. La proprio nous regarde discrètement dans le miroir de la cabine. Elle est à deux rayons et ne peut voir mon sexe. Je me sers à ma belle du moment et l’embrasse à pleine bouche. La dame se pince les lèvres et se penche en avant. — Elle se branle !!! Lui murmurais-je à l’oreille. — Tu ne vas pas quand même te la faire. — Non, pas assez belle, mais toi. — Non ! — Je plaisante, Adélia, je plaisante. On part dans fou rire qui résonne dans toute la boutique. Un "cling-cling" raisonne, ce qui veut dire que nous ne sommes plus seules. La patronne, à son grand regret, se dirige vers l’intrus. On enfile les deux jupes, les deux hauts. On dirait deux sœurs, mise à part la coiffure. Elle avec sa grande crinière blonde et moi mes deux millimètres. On récupère nos vêtements et on se dirige vers la caisse. — Sophie, veuillez vous occuper de ces deux jeunes filles. Malika et Théna nous rejoignent et éclatent de rire. Elles nous disent qu’elles avaient acheté ces tenues l’année dernière et s’étonnent de leur présence dans les rayons. Je paie avec ma carte de ...