1. Angel'seven. I. Angela. (4)


    Datte: 21/04/2018, Catégories: Divers,

    ... sortait la boule de métal de son trou du cul, ce qui lui provoqua au passage une sensation terrible. Mais immédiatement elle sentit deux grandes mains s’emparer de ses fesses et commencer à les malaxer puissamment, les pincer fortement, et l’énorme queue coulisser et faire des va-et-vient dans son sillon fessier, se frottant avec insistance, au passage, contre son œillet encore dilaté. Soudain elle fut estomaquée, sentant le second gland forcer l’entrée étroite de son cul : ses yeux s’écarquillèrent comme des soucoupes, sa bouche s’ouvrit mais aucun son n’en sortit ; par contre, le troisième « ange » en profita pour y enfiler son énorme phallus, l’empêchant définitivement de parler. Le deuxième vit progressait péniblement dans son fondement, centimètre par centimètre, et empalée par ses trois orifices, elle se voyait dans sa tête comme un papillon épinglé sur un tableau de liège. Des mains noueuses malaxaient ses seins mous, d’autres lui trituraient, lui travaillaient les fesses comme de la pâte à modeler, d’autres maintenaient sa tête par les cheveux tandis qu’on lui besognait sa bouche. Avec honte et humiliation, une humiliation suprême, un désespoir profond, elle ne put s’empêcher de jouir, subissant des salves d’orgasmes se succédant à répétitions, son corps tremblant de spasmes convulsifs qui l’auraient secouée comme une électrocutée, si elle n’avait pas été maintenue fermement par toutes ces mains, plaquée qu’elle était sur le corps athlétique de « l’ange » du dessous, ...
    ... prise en sandwich par celui qui lui défonçait le cul, la bouche garnie et occupée entièrement par la queue du troisième. Ses larmes coulaient désormais en abondance mais c’était sous l’effet de l’extase intense de ses jouissances, du lait perlait de ses mamelons sous l’effet de la traite violente de ses seins malmenés, la sueur coulait sur tout son corps dodu. A un moment donné ouvrant grands les yeux sur la lumière rouge tamisée qui baignait la scène de son supplice, elle vit plusieurs nouveaux exemplaires de « l’ange », en particulier deux autres queues aussi larges et aussi dressées que les premières, et ses mains inoccupées se trouvèrent attirées par elles. La tête vide, et sans vouloir s’avouer cette excitation, elle mit sur le compte d’un maléfice son double geste : elle saisit en effet un phallus humide de chaque main et se mit à lesbranler lentement, rythmiquement, et avec l’application experte qu’aurait montrée une professionnelle du port de Hambourg. Des grognements sourds de bête en rut emplirent la pièce voûtée ; soudain une main l’attrapant par les cheveux lui tira la tête en arrière, et la queue monstrueuse sortant de sa bouche se retrouva à dix centimètres de son visage, et l’éclaboussa comme un geyser, d’un jet suivi d’une vingtaine d’autres (lui démontrant bien, s’il le fallait encore, la nature surnaturelle de l’être à qui elle avait à faire) ; la semence épaisse semblait rouge comme du sang, et gouttait au fur et à mesure qu’elle éclaboussait et entartrait ...
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