1. Angel'seven. I. Angela. (4)


    Datte: 21/04/2018, Catégories: Divers,

    ... son visage comme un masque. Puis ce fut le tour de l’une des queues qu’elle branlait d’asperger sa gorge et sa poitrine, puis à l’autre. Enfin, alors qu’elle ne sentait plus son fondement à force d’avoir été emboutie rythmiquement par les deux membres – ou à force d’avoir joui comme une mitraillette sous leurs assauts cadencés, elle les sentit gonfler encore et dilater d’avantage ses orifices : elle poussa un cri de frayeur comme de surprise, et reçut un double lavement vaginal et rectal ; son ventre gargouilla, son vagin fut comme arrosé d’un jet à forte pression et se mit à déborder, la semence gluante lui coula le long des cuisses. La petite femme ronde, partouzée diaboliquement et sans relâche pendant des heures, en demeurait pantelante, les jambes molles, sans aucune force, presque incapable de se mouvoir. Elle se retrouva finalement soulevée de terre comme un fétu de paille, portée sous les bras par des bras puissants. Une voix grave, envoutante, qu’elle connaissait bien lui parla tout près d’elle, comme sur le ton de la confidence : « - Vous m’avez surpris, petite Madame. Je n’aurais pas cru qu’il y avait en vous autant de ressources, je n’aurais pas pensé que vous y étiez si douée pour la lubricité… en somme, je n’imaginais pas qu’il y avait en vous une telle salope ! » Ces mots auraient pu la précipiter dans un désespoir profond s’ils n’avaient été dits avec une grande douceur, non sans ironie, mais avec une pointe d’admiration. « - Je pense que vous avez ...
    ... simplement joui en une nuit autant que vous auriez dû le faire pendant toutes ces années où votre activité politique vous a trop occupée et trop fatiguée pour que vous puissiez vous consacrer à ce que toute femme, normalement constituée, se consacre avec un ou plusieurs maris, un ou plusieurs amants. En somme je vous ai aidée à rattraper le temps perdu. Votre orgueil de femme fière et arriviste, avide de pouvoir, aurait pu vous perdre totalement, mais en quelque sorte, je vous ai sauvée, et empêchée de passer à côté de quelque chose qui aurait pu vous manquer dans quelques années. Je vous ai fait connaître quelque chose que vous n’aviez jamais connu, n’est-ce pas ? » Elle le regarda, l’air las, mais avec une sorte de terreur dans les yeux. « - N’est-ce pas ?! » répéta-t-il tonitruant, l’ayant saisi par la chatte, sa main s’étant refermée sur son mont de Vénus rebondi. « Avouez que vous avez joui comme jamais ! — Oui, oui… j’ai joui… Ah j’ai joui… J’ai honte » ajouta-t-elle en baissant la tête. — Il ne faut pas, petite Madame. Vous êtes faite de chair, et la chair est faible. Mais là n’est pas votre plus grande faiblesse… » Un silence, puis elle rétorqua : « - Je crois que j’ai compris la leçon. — En effet, c’est bien possible. — Que voulez-vous… ? Que voulez-vous DESORMAIS ? — Oh vous savez, si un de ces soirs, la chair vous travaillait… n’hésitez pas à m’appeler. Je n’hésiterai pas à venir à votre secours… moi, et mes clones… — … — Oui, je sais. Vous êtes bien peu en proie au désir. ...
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