Un bienfait n'est jamais perdu - 1ere partie
Datte: 16/07/2017,
Catégories:
fh,
hh,
fhh,
hbi,
couplus,
intermast,
pénétratio,
hsodo,
... pulsion fulgurante, tout à fait incontrôlée m’a fait avoir ce geste… Un peu appuyé. À mon âge, c’était une première et pendant un instant, je reconnais que j’ai été une autre personne. — Ok pour la découverte et la pulsion incontrôlée, mais tu savais bien ce que tu faisais et ça t’a fait plaisir continua mon Jiminy Cricket, t’es entrain de drôlement évoluer…— Et alors, il fallait le laisser avec le zizi à l’air, donneuse de leçons ! Non mais, faut pas se laisser influencer au-delà du raisonnable par une conscience qui voudrait tout régenter ! J’ai été marié assez longtemps pour savoir où ça mène ! Silence dans les rangs, scrogneugneu. Fin de la discussion. Après cet intermède, je me suis rendu utile. Et d’un, appeler les secours sur le portable ; et de deux, donner à boire à ces gens. J’avais une bouteille d’eau fraîche, ils ont bu et je leur ai rafraîchi le visage, ce qui les a fait sortir lentement de leur hébétude. Peu de temps après, pompiers et gendarmes sont arrivés et ont pris les choses en main. Il était juste temps, la voiture était entrain de cramer. L’ambulance les a emmenés peu après vers l’hôpital pour examen, pendant qu’il a fallu s’occuper des explications et déclarations diverses. J’ai appris que lui était Paul G. médecin, et elle, sa femme Roxane, antiquaire. Compréhensifs, les gendarmes m’ont dit de repasser à la brigade le lendemain matin pour compléter et signer ma déclaration. Sur ce, je suis rentré à la maison. Le lendemain, j’ai donc revu les ...
... gendarmes et après avoir expédié la paperasse, je leur ai demandé, pour leur faire une petite visite, vers quel hôpital avaient été dirigés les accidentés. Je les y ai trouvés en pleine forme. Après la mise en observation, les radios etc. ils étaient prêts à sortir : pas de séquelles ! Il faut dire que le personnel avait été aux petits soins pour eux car le mari était bien connu de tout le monde. Bien sûr, ils se sont confondus en remerciements avec une chaleur et une gentillesse naturelle qui faisaient chaud au cœur et m’embarrassèrent un peu. Puisqu’ils étaient sans voiture, je ne pouvais faire moins que de leur proposer de les ramener chez eux. Cependant, au moment de partir, j’ai pensé demander au médecin de conduire ; pour faire passer le choc psychologique de l’accident ai-je dit ! Il a d’abord refusé, puis il a vite compris la thérapie : quand un cavalier tombe, on l’oblige à remonter en selle tout de suite, même chose ici ! Au début du trajet, sa femme est restée derrière ne parlant presque pas… Trouille de remonter en voiture, timidité ou autre chose, je ne sais pas. Pendant que nous roulions, la conversation a été agréable et si nous avons reparlé de l’accident, nous avons aussi découvert que nous avions des goûts en commun : musique, cinéma, lecture, dessin, Internet, simulateurs de vol sur ordinateur etc. À la station d’essence où il a fallu remettre un peu de sans plomb, j’ai suggéré que sa femme conduise à son tour. Là, ça a été plus difficile, elle a dit sur un ton ...